Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai lu hier:Gertrude Stein et Pablo Picasso : l'invention du langage(expo en cours)(bu)
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Livre
Edité par Arcane 17. Tarbes - 2023
Les polars , comme tout ce que j'aime, inspirent ce que j'écris, à acheter ici
Ce sont des mots que l’on n’aurait jamais voulu écrire, une nouvelle qui nous laisse, comme de nombreuses personnes du monde de l’art qui n’ont pas souhaité s’exprimer, sous le choc. Le 29 novembre, Vincent Honoré, directeur des expositions au Mo.Co de Montpellier, a été retrouvé mort chez lui, à l’âge de 48 ans. Tandis qu’une enquête de police a été ouverte, les causes du décès pointent, selon plusieurs proches, vers un suicide. Il était très aimé. Débutant sa carrière comme curateur au Palais de Tokyo de 2001 à 2004, Vincent Honoré s’installe ensuite à Londres pour travailler à la Hayward Gallery, à la David Roberts Art Foundation, puis à la Tate Modern. Il y fonde les éditions Drawing Room Confessions, série de conversations avec des artistes, et montre le travail de Carol Bove, Pierre Huyghe, Dominique Gonzalez-Foerster, Jeff Wall, Louise Bourgeois, Hans Haacke, Catherine Sullivan, Oscar Tuazon, Keren Cytter, Neil Beloufa ou encore Rosemarie Trockel. Directeur artistique de la 13e Baltic Triennial en 2017-2018 et du pavillon du Kosovo à Venise en 2019, il avait été nommé au Mo.Co par Nicolas Bourriaud en 2019. Parmi ses récentes expositions marquantes, faisant souvent la part belle à la performance, aux femmes et aux perspectives queer, citons « Drag: Self-portraits and Body Politics » en 2018 à la Hayward Gallery, et au Mo.Co « Possédé]]>e]]>s. Déviance, performance, résistance », en 2020-2021, les solo shows d’Ana Mendieta, au printemps dernier, et de Huma Bhabha, inauguré seulement la semaine dernière. Loin des prétentions, ce brillant CV s’incarnait dans une personnalité d’une grande générosité, drôle (ses stories sur Instagram en ont aidé beaucoup à passer le cap du confinement), sensible et avant tout ouverte aux autres. Proche des artistes, dont il aimait à porter les créations à même la peau, curieux des plus jeunes comme des figures oubliées, Vincent, qui disait depuis plusieurs mois souffrir de ses conditions de travail au Mo.Co, prenait la peine de discuter en profondeur avec chacun, et avec leurs proches – comme avec Raquel Cecilia Mendieta, qui lui avait fait toute confiance pour lui révéler les archives de sa tante. Pour Lili, sa fille adolescente, cet intarissable passionné composait des petites vidéos, faites de bric et de broc, présentant des artistes femmes « dont on ne lui parlera pas à l’école », comme Joyce Pensato ou Seyni Awa Camara. Vincent n’avait pas peur non plus d’aborder des sujets politiques, douloureux et complexes, comme pour l’exposition « Musées en exil », en 2022, où il évoquait notamment, sans en faire une gloriole, le futur Musée national d'art moderne et contemporain de la Palestine, donnant une voix à ceux qu’on veut taire. La sienne va terriblement manquer.
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Tous les jours matin et soir: abdos
étirements
Planche de face et latérales, squats avec haltère
du lundi au samedi avec Nagui et les maestros de 18h40 à 19h40: danse
semaine de travail:
lundi: bus à 7h23 en bas de chez moi
départ de la maison :7h18
réveil 2: 6h18
réveil1: 6h03(portable):allumage de certains radiateurs, les autres étant programmés pour s'allumer seuls
mardi: bus à 7h07
départ 7h02
réveil 2:6h02
réveil 1:5h47
marché
l'opinion
mercredi et jeudi: tram à 7h17
départ à 7h06
lever 2 :6h06
lever 1:5h49
presse
pause déjeuner les lundis et jeudis:11h30-12h30
1/2 du repas dehors: poisson ou oeufs durs
salade ou autres crudités
féculents ou légumineuses
+ légumes
entre 2: médiathèques, café ou déca, marche
pause les mardis :11-12h
mercredi:11h45-12h30
l'autre moitié: yaourt et fruits à mon poste de travail
toujours bus pris devant mon travail
ou à la gare pas loin, devant la médiathèque
pour remonter ma colline