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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 738

  • Catégories : La représentation des bohémiens:art et littérature

    Georges Rouault et le cirque

    Rouault s’est toujours intéressé aux fêtes foraines et aux clowns. Dans ses tableaux, on sent la misère de ces amuseurs publics que sont les clowns, les acrobates, et les autres personnages du cirque. Ils sont souvent le symbole de la souffrance humaine.


    Clown au bandonéon

    1906


    Acrobate X

    1913


    Le vieux clown au chien

    1925


    Ecuyère de cirque

    vers 1926


    Le clown jaune

    1930


    Clown assis, Cirque de l'étoile filante

    1932


    Pierrot (ou Pierrette)

    1937 ou 1938


    Petite magicienne, Cirque de l'arc en ciel

    1948-49


    Duo ou Les deux frangins

    1948

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  • Bernard Buffet: Tête de clown

    © Bernard Buffet

    Gianni Esposito (mort en 1974 à 44 ans)

     

     

     

     

     

     

     

     

    S'accompagnant d'un doigt

     

     

    ou quelques doigts

     

     

    le clown se meurt

     

     

    S'accompagnant d'un doigt

     

     

    ou quelques doigts

     

     

    le clown se meurt

     

     

    sur un petit violon

     

     

    et pour quelques spectateurs

     

     

    sur un petit violon

     

     

    et pour quelques spectateurs

     

     

     

     

     

    Ma chè n'ha fatto de male

     

     

    sta povera creatura

     

     

    ma chb c'iavete da ridere

     

     

    et portaije iettatura !

     

     

     

     

     

    D'une petite voix comme

     

     

    il n'en avait jamais eue

     

     

    D'une petite voix comme

     

     

    il n'en avait jamais eue

     

     

    il parle de l'amour

     

     

    de la joie, sans étre cru

     

     

     

     

     

    Se voi non comprendete

     

     

    si vous ne comprenez pas

     

     

    Se voi non comprendete

     

     

    si vous ne comprenez pas

     

     

    almeno non ridete

     

     

    au moins ne riez pas !

     

     

    almeno non ridete

     

     

    au moins ne riez pas !

     

     

     

     

     

    Ouvrez donc les lumières

     

     

    puisque le clown est mort

     

     

    Ouvrez donc les lumières

     

     

    puisque le clown est mort

     

     

    et vous applaudissez

     

     

    admirez son effort

     

     

    et vous applaudissez

     

     

    admirez son effort.

     

     

     

     

     

    Pour en savoir plus sur Giani Esposito, voir là 

    http://blogs.mediapart.fr/edition/je-me-souviens/video/161010/je-me-souviens-des-clowns

  • Bohèmes, de Léonard de Vinci à Picasso, au Grand Palais en 2012

    Le sujet est exaltant mais il va falloir hélas attendre encore un peu puisque cette exposition ne se tiendra au Grand Palais que du 24 septembre 2012 au 6 janvier 2013. Le fait qu’elle soit organisée par la RMN - Grand Palais et la fundación Mapfre, de Madrid est de plus alléchant et prometteur. Quels seront les tableaux présents ? Si Léonard de Vinci, van Gogh Modigliani et Picasso sont bien évidemment convoqués, je ne vous cacherai pas que je suis impatient, sur un tel sujet-roi, de découvrir ce qui en fera le détail, que ce soit en peinture, en littérature, en photographie ou en musique

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  • Roland Van Halst

    , né le 27 août 1946 à Waregem (Belgique)


    OH ! CIRQUE, QUI NOUS A FAIT REVER QUAND ON ETAIT PETIT
    RESTE TOUJOURS NOTRE AMI
    ET CONTINUE A NOUS FAIRE REVER TOUTE LA VIE.

     


    Roland est né le jour de la grande fête de Waregem, et c’est également à Waregem qu'il a vu son premier spectacle de cirque, vers 5 ou 6 ans. En 1953, il déménage à Bruxelles en pleine période de la plus grande foire de Belgique, et à quelques mètres de celle-ci. Depuis, le cirque et la fête foraine sont totalement ancrés en lui.


     l'âge de 13 ans, sur les bancs de l’école, il fait la connaissance de Jean, qui a les même passions que lui et ils deviennent vite de grands amis. Comme chez Jean, il y a beaucoup de place, ils y montent une petite salle de spectacle pour divertir leurs copains de classe les mercredis et samedis après-midi. C’est à cette époque qu'ils créent leur premier duo, Hardiny & Cafeôl (Roland y est clown et Jean illusionniste).

    En 1964, ils font la connaissance de la famille Adler (une grande famille foraine) et tous les week-ends, les voilà partis pour les plus grandes foires de Belgique et du Luxembourg. La famille Adler est formidable et leur permet de bien connaître les coulisses de la vie foraine. Un jour, Arthur Adler leur dit : "Allez chercher votre matériel et montrez-moi ce que vous savez faire ! Vous vous produirez sur ma parade à la foire de Bruxelles." Il est satisfait mais apporte quelques changements : Roland prend alors le nom de Mario et Jean, le nom de Buffet.

    Profitant du bon tremplin que constitue la parade foraine pour de jeunes artistes, le duo Mario et Buffet continue sur sa lancée. Quelques temps plus tard, Jean se marie et sa femme intègre le numéro. Le trio ‘Les Marbuly’ est né.

    A cette époque, ils font la connaissance du clown Bouboule, un type formidable qui leur apprend beaucoup de choses sur le métier et qui leur ouvre quelques portes dans le milieu du spectacle en Belgique. En 1972, ils font leur entrée au cirque Piste, pour un remplacement de quelques jours.

     

    En 1974 a lieu leur grand départ pour la France, grâce à un contrat au cirque Morallès. C’est là que Roland rencontre Gilbert Bertharion, lors d’un séjour à Clermont-Ferrand. Gilbert est comme lui un fou du cirque, et il y entraîne toute sa famille. Un an plus tard, sous le chapiteau de Morallès, installé place du Premier Mai à Clermont-Ferrand, Roland épouse la fille de Gilbert, Marie-Christine Bertharion

    En 1976, il part en tournée avec le chapiteau ‘Les Oiseaux du Monde’. C’est là qu’au mois de juin, Gilbert annonce une grande surprise : la famille Van Halst – Bertharion va avoir son propre cirque !

    En 1977, naît Matthias, son fils. Comme Roland est resté habiter en France, il a quitté Les Marbuly, qui sont retournés en Belgique. Et avec Gilbert et Marie-Christine, ils ont monté un nouveau trio. Le Cirque Halston et le trio du même nom ont vu le jour… En 1979 a lieu le grand départ du cirque Halston, une aventure formidable dont il espère un jour pouvoir écrire l’histoire.

     

    Malheureusement, dans le courant de la saison 1980 tout s’arrête à cause de divers motifs. De plus, Marie-Christine part de son côté. Et en 1981, Roland retourne en Belgique avec son fils. Quelques mois plus tard, il rentre dans le trio Les Karlton‘s, mais pour gagner sa vie, il doit également prendre un autre boulot. Les Karlton’s parviennent à faire quelques galas. Mais les comités des fêtes, et par la même occasion les galas, diminuent d’année en année en France, et le trio doit s’arrêter.

    Roland garde son autre emploi en Belgique, qui malheureusement n’a plus rien à voir avec le spectacle. Pendant son temps libre, il en a profité pour ranger tous les documents concernant le cirque. En 1995, il se retrouve sans profession. Espérant retrouver du travail, il présente son idée de centre du cirque à diverses personnes. Elles trouvent toutes l’idée très intéressante… mais ne donnent jamais aucune suite. Pour mieux faire connaître le centre de documentation et d’archives, il crée ce site Internet avec mon aide. Maintenant, il a retrouvé du travail, c'est un contrat d'huissier dans un service public. Mais il espère toujours exercer une nouvelle profession en rapport avec le Centre de Cirque.


    http://www.circusnet.info/cirque/roland.php

     
  • Picasso. Sa passion Carmen

    L'Oeil - n° 592 - Juin 2007

     

    Comment surprendre encore le public avec une énième exposition consacrée à Picasso ? « En le regardant comme un artiste contemporain », répond Anne Baldassari, directrice du musée Picasso à Paris, qui interroge avec beaucoup de pertinence les rapports que le maître espagnol entretint tout au long de sa vie avec le mythe de Carmen. Sur fond d’hispanisme triomphant (Prosper Mérimée a publié sa nouvelle éponyme en 1845, Georges Bizet composé son opéra funèbre en 1873-1874), le jeune peintre exilé à Paris s’approprie à son tour la figure de l’héroïne tragique. Sous son pinceau amoureux ou rageur, Carmen devient tour à tour magicienne ou sorcière : son nom même n’est-il pas la transcription du mot « charme » ?
    Rien de moins « folklorique » cependant dans la démarche picassienne. Si le peintre puise son inspiration dans les cartes postales et autres ex-voto appartenant à la culture populaire, c’est pour mieux revivifier sa mythologie personnelle. Refusant l’asservissement sexuel à un seul partenaire, préférant « mourir que céder », Carmen la prostituée, la gitane, la bohémienne atteint le statut d’icône et de martyre. Mieux ! Chez Picasso, elle se hisse au rang de modèle absolu. Sacrifiant tout pour sa liberté, elle devient l’incarnation même de la peinture, le double du peintre qui n’hésite pas à se travestir en elle. Pour preuve, cette pépite rare qui clôt l’exposition : les vingt-trois secondes du film La Garoupe tourné en 1937 par Man Ray et Dora Maar, où l’on voit Picasso coiffé d’une mantille de fortune adresser une œillade assassine à la caméra en allumant une Gitane…
    Remarquable par l’intelligence du propos, l’exposition est aussi un régal pour l’œil. Scènes de tauromachie d’un érotisme furieux (au sacrifice rituel de l’animal sauvage se superpose celui de la femme fatale), admirables portraits « carméniens » se jouant des archétypes d’une Espagne de fantaisie (mantilles, châles, éventails et grands peignes constituent autant de jeux visuels pour piéger le spectateur) mais aussi dessins, gravures, photographies et documents d’archives proposent une relecture décapante du processus créateur de Picasso. « Il me provoque, il me sidère », nous confiait Anne Baldassari à propos de l’artiste. Aux antipodes d’une approche biographique ou patrimoniale, cette manifestation a bel et bien des allures de credo. Olé !

    Bérénice Geoffroy-Schneiter

    « Picasso Carmen, Sol y Ombra »

    Musée national Picasso, hôtel Salé, 5, rue de Thorigny, Paris IIIe, tél. 01 42 71 25 21, www.musee-picasso.fr, jusqu’au 24 juin 2007.

    http://www.artclair.com/oeil/archives/docs_article/00255/picasso.php

  • "La bohémienne endormie" du Douanier Rousseau

     

    rousseau_bohemienne.jpg

    Original – La Bohémienne Endormie 1897
    huile sur toile – 200 cm x 129 cm
    Museum of Art Modern - New York

    Un lion placide flaire une bohémienne endormie….
    La suspension dans l’espace est favorisée par la beauté de l’image exotique,
    la rigueur du style fit passer cette œuvre pour un prototype.

    Henri Rousseau: pour en savoir plus

    http://art.mygalerie.com/copistes/diapo/rousseau_bohemien...

     
  • Bilan bio littéraire(2011)

    3 lieux de travail

    3 lieux de vie

    4 déménagements

    1 dédicace au salon du livre de Paris que je regrette d'avoir refusé de faire... par conscience professionnelle

     Plusieurs publications collectives en anthologie ou revue, plusieurs prix à des concours littéraires

    Et surtout beaucoup d'écriture et de lecture nourrie de douleurs, de paysages et de bonheurs

    Certains m'ont aidé, je les en remercie

    Les autres, j'essaie de les oublier

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Nerval Gérard de, Voyage

    Bulletin Nerval nº 108 / 1er septembre 2012

     
     
     
     
     
    OUVRAGE
     
    Jean-François Chevrier, "L'Hallucination artistique, de William Blake à Sigmar Polke", Paris, L'Arachnéen, 2012 (le chapitre IV est consacré à Nerval)


    ARTICLES
     
    - Guy Barthélemy, "Pittoresque et dérèglement du visible dans le "Voyage en Orient" de Nerval, ou : pourquoi et comment liquider le pittoresque ?', in "Le Pittoresque – Métamorphoses d’une quête dans l’Europe moderne et contemporaine", Actes du colloque de Lille (juin 2009 ), édités par Jean-Pierre Le Thuillier et Odile Parsis, éd, Classiques Garnier, coll. "Rencontres, série Etudes Dix-neuxiémistes", août 2012, p. 403-417.

    - Michel Brix, "Gérard de Nerval, de Paris à Munich", in "Circuit" (revue de l'Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec), numéro 115, printemps 2012, p. 27-28.
     
     
    COMPTE RENDU

    Lise Sabourin, CR de Sylvie Lécuyer, "La Généalogie fantastique de Gérard de Nerval" (Namur, "Etudes nervaliennes et romantiques XIV", 2010), in "Studi Francesi", année LVI, fascicule 2, mai-août 2012, p. 345.

     
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    Ce Bulletin vous tiendra informe(e) des renseignements concernant Nerval. Si vous desirez le recevoir gratuitement et y faire paraitre des informations ou des commentaires, veuillez envoyer vos coordonnees et vos messages a Michel Brix ou Hisashi Mizuno.
     
    Les anciens numéros du Bulletin sont installes sur le site Amitie-Nerval et sur le site du Centre Nerval de Namur.
     
     
     
     

     

  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CV littéraire/book

    2004

    Poète du mois de janvier 2004 pour Vous et moi (3 e prix)

     

    Poète du mois de février 2004 pour La foi  (3 e prix)

     

    5e prix au concours « La plume d’or des quatre saisons, printemps 2004 » : J’aime bien la mer (poème)

     

    Lauréate du concours de poésie « Printemps des poètes

    2004 » de Mantes la   Ville dans la catégorie adultes 25/40 ans : Si j’étais une artiste

     

    Poète du mois de juillet 2004 pour  J’ai laissé mon cœur (3 e prix)

     

    Poème remarqué au concours Evasion 2004 : Ariège 

     

    Poème remarqué à La chaîne des poètes 2004 : J’ai construit un début. 

     

    Déambuler  dans le recueil de la Poésie contemporaine

     

    Ecrivain public : article dans le progrès de Saint-Etienne

     

    3 e prix au concours  Poésie passion 2004 : Dans ma petite maison d’Irlande 

     

  • Le Journal des Arts

    ÉVÉNEMENT Mercredi 06 mai 2015

     

    Nettoyage de printemps dans les statuts du CNAP

    PARIS [06.05.15] - L’Etat a acté par un décret récent une plus grande autonomie de l’institution, et clarifie ainsi son rôle dans le soutien à la création. PAR David Robert

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    Un trésor chinois qui appartenait au Musée Guimet rendu à la Chine en toute discrétion

    PARIS [05.05.15] - A deux semaines du déplacement de Laurent Fabius en Chine, François Pinault et Christian Deydier rendent à la Chine des trésors archéologiques. Problème : ils avaient déjà donné ces objets au Musée Guimet il y a 15 ans. Le ministère de la Culture les a convaincus d’annuler rétroactivement leur donation. Tout cela dans le plus grand secret. PAR Vincent Noce

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    Le Solomon R. Guggenheim Museum fermé temporairement en raison de manifestants dénonçant les conditions de travail sur les chantiers d’Abou Dhabi

    NEW YORK (ETATS-UNIS) [05.05.15] – Le Solomon R. Guggenheim Museum a du fermer vendredi après-midi, alors que des manifestants occupaient la rotonde et demandaient à rencontrer les responsables de la Fondation pour discuter des conditions de travail sur le chantier d’Abou Dhabi. PAR Julie Paulais

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  • Le parcours de Cannelle:partir

    Le grand écart entre la super bonne élève de la 3e encore  et la cancre je m'en foutiste de la seconde à la terminale.

    Me voilà donc  au 2 e tour, après des oraux dans mes matières à fort coefficient, avec mon bac sciences éco avec mention assez bien

    Je vais enfin pouvoir quitter cette maison, cette famille et cette ville qui m'étouffent... pour faire une prépa HEC à Paris

    Partir ... pour suivre la voie de mon père détesté et admiré: encore un grand écart et un paradoxe

  • Catégories : CE QUE J'AI ECRIT ET PUBLIE, Paysages de Cannelle. Nouvelles

    La terminale et le bac de Cannelle

    La terminale a été cauchemardesque (d'une façon différente que mes années collège où j'avais été harcelé par des filles qui me pouvaient trop fière alors que j'étais seulement trop timide) et je ne serais trop si j'aurais tenu une année de plus en cas de redoublement.

    Malgré mes 36 points d'avance au bac français, je me suis retrouvée à l'issue du bac avec 30 points de retard.

    Le grand écart entre la super bonne élève de la 3e encore  et la cancre je m'en foutiste de la seconde à la terminale.

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Klimt Gustav

    "A bon entendeur, salut !":Où l’on découvre le double jeu de Klimt.

    Vous n'arrivez pas à voir les images ? Contactez-nous sur jean@artips.fr

    Portrait photographique de Gustav Klimt en 1913
    Voir en grand

    Vienne, fin de siècle. Le peintre autrichien Gustav Klimt fait l’objet de nombreuses critiques pour certaines de ses œuvres. La Chambre des Députés qualifie même son travail de "pornographie" !

    En 1901, il se lance dans la réalisation d’une nouvelle œuvre. Alors au cœur des polémiques, peindra-t-il un thème qui convient mieux à la bourgeoisie viennoise ? Au contraire !

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  • Catégories : CE QUE J'AI ECRIT ET PUBLIE, Paysages de Cannelle. Nouvelles

    Le parcours sinueux de Cannelle

    Un parcours sinueux de quelqu'un de sensible, influençable, sentimentale, mal orienté, inaudible dans sa famille

    Une excellente scolarité jusquà la seconde qui a coincidé avec des événements familiaux qui ont influencé l'adolescente pas très précoce que j'étais

    Envie de ne plus être la gentille fille que j'avais toujours été

    Une professeure de lycée catholique qui avertit ma mère

    Une mère occupée par sa vie personnelle qui ne veut pas voir

    Alors que j'avais plutôt une tendance littéraire, mes résultats en français chutent (premières sorties, amours naissantes etc.) et on me propose de passer en 1 ere économique

    Est-ce que quelqu'un a protesté, je ne  me souviens  pas que mes parents ou moi aient protesté; ce qui me semble clair malgré tout, c'est qu'on préférait que j'aille dans une orientation qui me plaisait moins plutôt que redoubler(impensable dans ma famille!) pour faire ensuite une 1 ere littéraire.

    J'ai passé mon bac français brillamment, obtenu des points d'avance

    La terminale a été cauchemardesque d'une façon différente que mes années collège où j'avais été harcelé par des filles qui me pouvaient trop fière alors que j'étais seulement trop timide