Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 957
-
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des bibliothèques
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CELLES QUE J'AIME, Woolf Virginia
Plus jamais d'invités ! de Vita Sackville-West
En invitant sa soeur, son beau-frère et son neveu à passer le week-end de Pâques dans sa belle demeure d'Anstey, Rose imagine qu'un peu de distraction conviendra à Walter, son mari. Le couple est uni par le respect, le confort, mais l'amour est une expression inconnue de Walter, plus attaché à son chien qu'à sa femme. Si les premières pages de ce superbe roman, écrit dans les années 30, semblent élégantes et légères, la gravité s'installe peu à peu. Derrière les apparences et la distinction de l'aristocratie anglaise, Vita Sackville-West distille savamment tous les poisons de l'égoïsme, les frustrations sexuelles et les silences infinis.
4* Traduit de l'anglais par Micha Venaille, éd. Le Livre de poche, coll. Biblio, 220 p., 6 EUR.
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/rayon-poche,49471.php#XwlHxWZv9SR4qZ7Z.99 -
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'histoire
L'opération Barbarossa
-
Le comité XX
Le comité XX (en anglais XX Committee ou Double Cross committee ou Twenty committee) est le service secret britannique rattaché au Security Service (MI5) qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, était chargé du Système Double Cross, comprenant, d'une part, le retournement des agents ennemis arrêtés au Royaume-Uni, et plus généralement le traitement des agents doubles, et, d'autre part, la coordination des opérations de désinformation (ou déception) menées contre l'ennemi par le canal de ces agents doubles.
-
J'ai lu cet après-midi(ramené de Taschen Lyon hier)
-
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, J'ai lu
J'ai lu cet après-midi:Alfred Bellet du Poisat : du romantisme à l'impressionnisme(expo vue mercredi)
-
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La poésie anglaise
La terre vaine
Thomas Stearns Eliot
La cruauté d'avril ouvre le premier poème du recueil The Waste Land (La terre vaine), daté 1921-1922. Ce poème est intitulé «The Burial of the Dead» (L'enterrement des morts). «C'est, comme suggère C. Bouix, un avril dédaigneux qui, malgré la souffrance de l'époque, continue de briller; un avril parfaitement sourd à la détresse humaine qui se lève sur notre «déclinante Europe», sur la terre déjà morte de notre expérience au monde.» Cependant, avril évoque aussi «la floraison nouvelle» et «la vie retrouvée», le temps de la renaissance. (L'épreuve de la mort dans l'oeuvre de T.S. Eliot, Geroges Séféris et Yves Bonnefoy, Paris, L'Harmattan, 2009, p. 19-20) Nous reproduisons ci-dessous d'abord quelques extraits de ce premier poème et ensuite des notes publiés dans La terre vaine et autres poèmes, traduits de l'anglais par Pierre Leyris (1976), Paris, Seuil, «Points», 2006, p. 94-97 -
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes
Grinling Gibbons
Détail d'un panneau sculpté par Gibbons au palais de Hampton Court
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
J'ai terminé cette nuit d'insomnie:En effeuillant Baudelaire(J'ai ramené des "Quais du polar" à Lyon)
-
Kimbell Art Museum Expansion
-
Les avant-gardes russes et le sport
-
Bataille de visions autour du Grand Palais
LE MONDE | 13.02.2014 à 08h31 • Mis à jour le 13.02.2014 à 09h48 | Par Jean-Jacques Larrochelle
Vue d'artiste du square Jean Perrin, future entrée du public (hors Nef) pour les galeries d’expositions et le Palais de la Découverte. | IMAGE LAN, RENDU DIALOGUE COMPÉTITIF. LAN, 2014
La réaction n'a pas tardé. Sitôt annoncé, le 3 février, le nom de l'équipe d'architectes, l'agence LAN (Local Architecture Network), chargée de l'aménagement du Grand Palais à Paris, Jean-Jacques Aillagon, ministre de la culture de Jacques Chirac entre 2002 et 2004, a livré sa vision de l'affaire. « Occasion manquée au Grand Palais » : ainsi était titrée, le 6 février, la chronique hebdomadaire qu'il tient dans le quotidien L'Opinion.
-
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des photographies
Des clandestins déconnectés du monde
-
Nous avons aimé cet après-midi au Musée des Tissus de Lyon:Costumes de légende
-
J'ai ramené de Gibert Lyon:Il était une fois l'Orient Express
-
Nous avons aimé cet après-midi:le musée des tissus et des arts décoratifs de Lyon
Introduction
Documents d'histoire, sources d'inspiration pour la création contemporaine, les collections sont orientées selon deux grands pôles : l'Orient et l'Occident.
Tapisseries coptes, tissus de la Perse sassanide, tissus byzantins et musulmans, tapis d'Asie mineure, retracent l'évolution des civilisations orientales.
La genèse de l'Occident se fonde sur les productions de Sicile et des républiques italiennes, bientôt relayées par l'essor artistique français.
Les productions lyonnaises occupent une place prépondérante avec les dessinateurs ornemanistes Pillement, Philippe de Lasalle ou Dugourc.
Le XIXe siècle est illustré par les commandes impériales et royales, qui ont permis une reprise de l'activité textile lyonnaise.
Le savoir-faire lyonnais est enfin confirmé jusqu'au XXe siècle avec des talents tels que Raoul Dufy et Sonia Delaunay. -
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'ésotérisme
L’ORDRE «SKULL & BONES» («LE CRÂNE ET LES OS»).
L’ordre “Skull & Bones” a été fondé au Collège Yale de New Haven, Connecticut, en 1832. Il est la plus ancienne et la plus prestigieuse des sept sociétés secrètes de Yale. Parmi les autres on compte: “Scroll & Key” (“Le Rouleau et la Clef”), “Book & Snake” (“Le Livre et le Serpent”), “Wolf’s Head” (“La tête de loup”), “Eliahu” et “Berzelius”. Ces groups servent comme base de racolage des jeunes destinés à des carrières dans le gouvernement, la justice, les finances et d’autres secteurs influents de la vie américaine. “Skull & Bones” est l’élite des élites de ces sociétés secrètes. Seulement “Scroll & Key” peut revendiquer une influence, presque égale, sur la société américaine des derniers 160 ans.
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
« La Mule du coach », de Dominique Sylvain, illustrée par Jean-Philippe Peyraud
LE MONDE | 30.04.2014 à 11h39 | Par Yann Plougastel
La couverture de "La Mule du coach" | LE MONDE
-
Catégories : Bosch Hieronymus(Jérôme), CEUX QUE J'AIME
Bosch - Le Jardin des délices
-
André Fougeron(1913-1998)
-
MERET OPPENHEIM.
-
RETOUR À BRIDESHEAD
Parution : 3 Mars 2005
Format : 122 x 182 mm
Nombre de pages : 616
Prix : 11,50 €
ISBN : 2-221-10383-1RETOUR À BRIDESHEAD - NE - PAVILLONS POCHE Evelyn WAUGH
Traduit par
Georges BELMONT«Retour à Brideshead»: un des plus purs chefs-d'oeuvre de la littérature anglaise du XXe siècle. C'est au-travers d'une grande fresque, enluminée de personnages plus excentriques les uns que les autres, sur les moeurs et l'art de vivre de l'aristocratie anglaise qu'Evelyn Waugh s'était juré de «suivre les cheminements de la volonté divine au sein d'un monde païen». Humour, cynisme et gravité mêlés font de ce roman le plus célèbre de l'auteur. Aussi, ce livre «endiablé» a-t-il fait l'objet d'une série TV (interprétée, entre autres, par Jeremy Irons) qui enchanta les téléspectateurs de tous les continents. On ne présente plus Evelyn Waugh (1903-1966), cet écrivain catholique pas comme les autres qui n'a cessé tout au long d'une oeuvre considérable – d'ailleurs considérée comme telle par ses contemporains, par la critique et les historiens de la littérature du XXe siècle – de mettre en scène avec verve, humour et souvent un cynisme naturel éloigné en apparence des voies du Seigneur, les impostures multiples de notre civilisation judéo-chrétienne. De «Grandeur et Décadence» – qui lui vaut une notoriété immédiate et teintée de scandale par sa dénonciation des milieux huppés de l'establishment britannique – à «Scoop», satire du journalisme, de ses «Corps vils» à «Une poignée de cendres» ou il poursuit une oeuvre de moraliste teinté d'orthodoxie, du «Cher disparu» ou il se moque avec une noire jubilation des rites funéraires jusqu'à son chef-d'oeuvre, «Retour à Brideshead», c'est donc à une véritable leçon d'éducation pas du tout politiquement – et moins encore socialement – correcte que le lecteur se trouve convié. Sir Evelyn Waugh est né à Hampstead en 1903. Après des études à Oxford, il mène au début des années 1920 une vie dissolue d'esthète dont on retrouvera l'écho dans son œuvre. Au cours des années 1930, il parcourt le globe, de la France au Proche-Orient, de l'Amérique centrale au Cercle polaire arctique. Il a eu six enfants de son mariage et vécu dans le Somerset de 1937 à sa mort, en 1966. Evelyn Waugh est l'auteur de Retour à Brideshead, Grandeur et décadence, Le Cher Disparu, Scoop, Une poignée de cendres ou encore de la trilogie formée par Hommes en...
http://www.laffont.fr/site/retour_a_brideshead_ne_pavillons_poche_&100&9782221103838.html
-
Les Fruits étranges et brillants de l'art
Woolf, Virginia, Des femmes-Antoinette Fouque, 1983Ce livre réunit une sélection d'articles et d'essais critiques publiés par Virginia Woolf entre 1904 et 1934. La première partie du recueil est consacrée à sept essais polémiques sur les femmes et l'écriture. La seconde partie, plus abondante, rassemble 18 études de romancières dans la tradition littéraire féminine (Aphra Behn, la duchesse de Newcastle, Jane Austen, Katherine Mansfield, etc.).
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, Woolf Virginia
Virginiafternoon
Samedi 29 septembre, Paris 14e, hôtel de Massa. Un hôtel particulier construit en 1778 pour un administrateur général des Postes à l'emplacement des nos 52 à 60 des Champs-Elysées. L'hôtel (classé) fut réédifié (traduit ?) pierre par pierre au 38, rue du Faubourg-Saint-Jacques en 1928, et est occupé depuis 1930 par la Société des gens de lettres.
Voilà pour les lieux... Il y fut question, cet après-midi-là, de Virginia Woolf, de la traduction de ses œuvres (dans la Pléiade*), tout cela à l'instigation de L'Envers de Paris, association de psychanalystes issue de l'Ecole de la cause freudienne. Textes lus en français, en anglais dans le sautillement magnifique de cette langue
Qu'est-ce donc qui intéresse des psychanalystes dans la traduction ?... Traduire, cela tient de “l'art de l'interprétation”, et comme dans une analyse, n'y vise-t-on pas aussi à “faire mouche avec les mots, mots-sons plus que mots-sens” ? (Stella Harrison, psychanalyste)
Un mot revint souvent à la tribune : “lalangue”, concept lacanien dont les animateurs de ce blog ignoraient tout jusqu'à ce samedi de septembre ; “lalangue” donc, qu'est-ce que c'est ? Eh bien, « dans ses conférences à Sainte-Anne en 1972, Lacan invente le concept de lalangue pour désigner ce qui, sous l'élucubration de savoir qu'est le langage articulé, constitue le “bouillon” de la matière sonore qui ne suit pas le découpage linguistique des mots et des lois de la syntaxe » (cueilli sur le site de l'Ecole de la cause freudienne).
Un autre mot : “parlêtre”, terme également forgé par Lacan pour désigner “l'être charnel ravagé par le verbe”...
Alors Woolf, en particulier, cet après-midi-là, Woolf recherchant “une langue intime (a little language) comme celle des amants”...