Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 958
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'architecture
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'architecture
Le Shingle Style
21.1 Maison à San Fransisco
(Etats-Unis)21.2 Maison à San Fransisco
(Etats-Unis) -
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage
Onopordon (chardon aux ânes)
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Catégories : CELLES QUE J'AIME, Woolf Virginia
Lettre de Virginia Woolf à son mari Leonard
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Des vers érotiques de Vita Sackville-West adressés à sa maîtresse
Ascot, 1912
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Vita Sackville West - Sissinghurst
Même si l'on ne cherche que la simplicité, comment échapper à la complexité de la vie ? "
Victoria Mary Sackville-West est née à Knole House dans le Kent, le 9 mars 1892. Elle était la fille de Lionel Edward Sackville-West, 3ème Baron Sackville et de sa femme Victoria Sackville-West, baronne de Sackville. Très tôt, Victoria prit le prénom de Vita pour se démarquer de sa mère. Elle passa son enfance et son adolescence dans la propriété familiale, mais étant une femme elle ne put en hériter, ce qu'elle regretta toute sa vie.
En 1913, Vita Sackville-West épouse Harold Nicolson, diplomate, puis journaliste, membre du Parlement, auteur de biographies et de romans, mais aussi, un compagnon bisexuel dans ce qu'on appellerait à présent un mariage ouvert. Ils eurent tous deux des liaisons homosexuelles, ce qui n'empêcha pas une relation étroite entre les époux, comme en témoigne une correspondance presque journalière (publiée après leur mort par leur fils Nigel), et un entretien qu'ils donnèrent à la radio de la BBC après la Seconde Guerre mondiale.
Harold Nicolson, diplomate de 1909 à 1929, dont Winston Churchill fit un sous-secrétaire d'Etat à l'Information pendant une partie de la Seconde Guerre Mondiale, tint pendant trente ans, de 1936 à sa mort en 1968 un journal qui fut édité en 1966 sous le titre "Diaries and letters", traduit en français sous le titre "Journal des années tragiques (1936-1942) "(B.Grasset, 1971).
Le couple eut deux enfants, Benedict Nicolson (1914-1978), historien d'art, et Nigel Nicolson (1917-2004), politicien et écrivain. Dans les années 1930, la famille acheta le château de Sissinghurst dans la campagne du Kent, région appelée le jardin de l'Angleterre.
La relation passionnée féminine qui eut l'effet le plus marquant et le plus durable sur la vie personnelle de Vita Sackville-West eut lieu avec la romancière Violet Trefusis, fille de la courtisane Alice Keppel qui était la maîtresse officielle du roi Édouard VII. Elles se rencontrèrent lorsque Vita Sackville-West avait douze ans et Violet Trefusis dix ans, et fréquentèrent la même école pendant quelques années. Bien que toutes deux mariées, elles partirent plusieurs fois en voyage ensemble, la plupart du temps en France, où Vita Sackville-West se déguisait en jeune homme quand elles sortaient. Leur liaison se termina mal, Violet Trefusis poursuivant Vita Sackville-West de ses assiduités alors même que Vita Sackville-West entretenait des liaisons avec d'autres femmes, mais Violet Trefusis refusa toujours cette rupture.
Le roman de Vita "Challenge" témoigne de cette histoire : Vita Sackville-West et Violet Trefusis commencèrent à écrire le livre ensemble, le personnage masculin, Julian, étant le surnom de Vita quand elle se faisait passer pour un homme. Sa mère, Lady Sackville, trouva l'autoportrait assez évident pour demander que le roman ne paraisse pas en Angleterre, son fils Nigel, cependant, en fait l'éloge : "Elle s'est battue pour le droit d'aimer, hommes et femmes, rejetant les conventions selon lesquelles le mariage exige l'amour exclusif, et que les femmes ne devraient aimer que les hommes, et les hommes uniquement les femmes. Pour cela, elle était prête à tout abandonner… Comment pourrait-elle regretter que ce savoir puisse atteindre les oreilles d'une nouvelle génération, qui plus est infiniment plus compréhensive que la sienne ? "
L'histoire d'amour la plus célèbre de Vita Sackville-West fut celle qu'elle eut avec la grande romancière Virginia Woolf à la fin des années 1920. A la suite de cette histoire, Virginia Woolf écrivit l'un de ses romans les plus célèbres, "Orlando", décrit par le fils de Vita Sackville-West, Nigel Nicolson, comme "la plus longue et la plus charmante lettre d'amour de la littérature", une biographie fantastique dans laquelle le héros éponyme traverse les siècles et change de sexe, publié en 1928. A la fin de leur liaison, les deux femmes restèrent amies.
Parallelement, Vita Sackville West eut une carrière de poète et de romancière. En tant que poète, elle fut deux fois lauréate du Hawthornden Prize (en 1927 et en 1933), cas unique dans l'histoire de ce prix littéraire. La première année pour son long poème narratif "The Land", et la deuxième année avec ses "Collected Poems". "The Edwardians" (1930) et "All Passion Spent" (1931) sont sans doute ses romans les plus connus de nos jours. Dans le second, Lady Slane, une femme mûre, recouvre un sens de la liberté et de la fantaisie longtemps refoulé après une vie vouée aux conventions.
En 1946, elle fut faite "Companion of Honour" pour ses services rendus à la littérature. L'année suivante, elle tint une colonne hebdomadaire dans The Observer, intitulée "In your Garden". En 1948, elle devint un membre fondateur du comité des jardins du National Trust.
Vita Sackville West meurt le 2 juin 1962.
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Stephanie Barron
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J'ai terminé ce matin d'insomnie:Le jardin blanc
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Deacon :la sculpture est un langage
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Ensor démasqué
James Ensor L’Intrigue, 1890, toile 90 x 150 © Lukas - Art in Flanders VZW / Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers
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François Auguste Ravier (1814-1895).
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Albert Gleizes et ses disciples, aux sources du cubisme
Nathalie Lebrun, attachée culturelle de la ville de Morestel, et Bernard Deviller, président des amis de la maison Ravier, présentent les œuvres d’Albert Gleizes, l’initiateur du cubisme, et de ses adeptes lyonnais.
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Nous avons découvert hier à MORESTEL:François GUIGUET
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Nous avons aimé hier:Morestel
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La maison Ravier suite
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Victor Charreton, peintre – Les collections publiques
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Musée de Bourgoin-Jallieu suite
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J'ai lu aujourd'hui:Manet:Olympia
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J'ai lu aujourd'hui:L'Oeil N°668
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Henri Cartier-Bresson
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Joseph Wright
25 January 2014 - 5 May 2014
Joseph Wright of Derby: Bath and Beyond
Roper Gallery £6.95 | Concessions'A cracking show about a fascinating painter' Richard Dorment The Telegraph>>
'Wright there: Derby artist's sojourn in Bath revisited' Mark Brown The Guardian>>
'Joseph Wright's time in Bath was grim but, as an exhibition in the city illustrates, it was also the making of him' Rachel Cooke The Observer>>
'Ringing with commendations: Joseph Wright' Martin Oldman Apollo>>
Joseph Wright ‘of Derby' (1734-1797) lived and worked in Bath between November 1775 and June 1777. This brief and little-known episode in Wright's life marked a crossroads in his career, yet it has never been explored in detail. ‘Joseph Wright of Derby: Bath and Beyond' will place Wright in the context of the many artists, musicians, writers, business people and scientists living and working in the Georgian spa and present for the first time a comprehensive view of his life and work during those eighteen months. The exhibition and accompanying catalogue will also go ‘beyond' to examine the effect of his time in Bath and his travels in Italy on Wright's later work.
Vesuvius in Eruption, with a View over the Islands in the Bay of Naples c. 1776-80
Oil on canvas, 122 x 176.4 cm © Tate, London 2013"I have taken the Liberty to give this Letter of Introduction to my Friend Mr. Wright of Derby, Who since his Return from Italy is come to Bath, & Designs to settle there."
Erasmus Darwin, 22 November 1775Wright came to Bath to paint portraits, hoping to build on the success of Thomas Gainsborough who had recently left for London. The exhibition will include the three remaining portraits that the artist certainly made in Bath, including his painting of the elderly Rev. Thomas Wilson with the young daughter of Catharine Macaulay, the radical historian.
Whilst in Bath Wright worked up landscape studies he had made in Italy, producing spectacular views of Vesuvius in Eruption and the dazzling firework displays of Rome, the highlight of a visit to the artist's studio in Brock Street. It was whilst in Bath that he first began to explore subjects from sentimental contemporary literature, which in turn have a strong impact on his portrait composition, and the exhibition will include some of his most beautiful depictions of figures alone in the landscape.
We are grateful to Derby Museum, which holds the world's largest and finest collection of Wright's work, for its generous loans to this exhibition which will include The Indian Widow, The Alchymist and some beautiful drawings. Other lenders include the National Gallery, Musée du Louvre, Tate, the British Museum, the Walker Art Gallery and the Fitzwilliam Museum.
The exhibition is sponsored by Lowell Libson Ltd and supported by The Paul Mellon Centre for Studies in British Art
This exhibition will travel to Derby Museum and Art Gallery
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LA SAISON 3 DES PETITS POLARS
1. La Volupté du billabong - Une Nouvelle de Hervé Claude, illustrée par Loustal
2.Cannibales - Une Nouvelle de Philip Le Roy, illustrée par Götting -
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Armand GUILLAUMIN
Armand GUILLAUMIN est probablement le moins connu des grands peintres impresssionnistes, bien qu'il fit partie du mouvement impressionniste dès son origine et qu'il en fut le dernier survivant.
Peintre paysagiste au coloris intense, il se distingua par ses paysages de la Région Parisienne, de la Creuse et de l'Esterel.
Né à Paris dans une famille ouvrière récemment émigrée de Moulins dans le Bourbonnais, où enfant il passa ses vacances, il commença à travailler à Paris dans le magasin de son oncle en 1857 à 15 ans tout en étudiant le dessin le soir.
En 1860 il fut embauché sur la ligne de chemin de fer Paris-Orléans, continuant à pratiquer le dessin pendant ses loisirs, avant d'étudier à l'Académie Suisse où il fit la connaissance de Cézanne et Pissaro, avec lesquels il restera toute sa vie en étroite collaboration et amitié.