Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
COCCINELLE(extrait)
Coccinelle, envoles – toi !
Coccinelle, si tu t’envoles,
Ce sera bien pour moi.
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Coccinelle, envoles – toi !
Coccinelle, si tu t’envoles,
Ce sera bien pour moi.
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Après l'apprentissage de la lecture par la méthode syllabique et la réforme de la grammaire, le ministre s'attaque aux quatre opérations.
Les Flandres : un territoire morcelé qui s’étend de part et d’autre de la frontière, d’Arras à Anvers, avec sa langue, sa culture, son histoire. Et ses histoires d’hommes qui forment une identité immuable, par-delà les siècles, les frontières et les brimades. À mi-chemin entre Lille et Dunkerque, d’étranges établissements attestent de cette identité flamande : ce sont les estaminets. Quand vient l’hiver et que les averses alternent avec des ciels à la Turner, tourmentés et immenses, il fait bon s’y réchauffer le cœur et le corps.
Au Kasteelhof, au sommet du mont et de la ville de Cassel (173 m !), on affiche complet. Le week-end, quand tout le monde est servi en carbonnades flamandes (bœuf bourguignon à la bière), pot’je vleesch (pâté aux trois viandes), lard fumé sur planche, ou autres plats typiques, Manu raconte des légendes locales ou universelles qu’il transpose invariablement dans sa région. « Il y a 100 000 ans, cinq mètres de neige recouvraient la plaine au pied du mont Cassel… »
Une clientèle variée, jeunes, étudiants lillois en goguette, mais aussi des familles du coin sur trois générations, des enfants jouant avec des jouets en bois, des touristes de passage, tous partagent la chaude convivialité qui émane de cette grande pièce offrant dans la journée une vue imprenable sur la plaine flamande, avec sa cheminée crépitante, ses bouquets de houblon, ses grands paniers d’osier et ses ustensiles d’antan. Manu a repris ce vieil estaminet il y a plusieurs années, il en a fait un écrin, où l’on peut boire, manger, acheter des produits de la région. Ou écouter les histoires qu’il raconte avec une joie communicative en laissant errer son regard, par les jours de beau temps, jusqu’à la mer du Nord.
« C’est la longue nuit de Noël, et le petit Karl pleure. » Manu pleure aussi, mélange flamand et français, prend des accents, imite le vent, les cloches, jusqu’aux rictus des sorcières. Des parfums régionaux aux bulles de la bière, jusqu’à la pénombre même, réchauffée par les dizaines de bougies, tout ici est flamand, intemporel, comme un tableau de Breughel. « Karl, c’est le sonneur de cloches de Cassel. Et s’il pleure, c’est que personne ne vient lui souhaiter Joyeux Noël. Alors, le pauvre Karl, il vend son âme au diable en échange de dix années de jouissance.»
Manu en fait des tonnes. Dans la salle, les conversations se sont tues, tout le monde écoute. Le temps est suspendu. C’est tellement bon enfant que ça devient suspect. À la fin du conte, Karl se joue du diable, qui, furieux, se met à taper du pied sur le sol flamand. Les yeux de Manu pétillent de contentement devant son auditoire captivé.« Et de ce martèlement démoniaque seraient nés la Cordillère des Flandres et le mont Cassel où nous nous trouvons aujourd’hui. »
Applaudissements ! Les conversations, les rires et les chopes reprennent leur course entre les tables.
Le Pays des Monts de Flandres est constitué de cinq « sommets » érodés comme des vigies ou des phares qui surplombent le plat pays. Manu est l’ambassadeur de cette cordillère. « Un estaminet, explique-t-il, ça n’est pas un restaurant, ça n’est pas un café, et pourtant on y mange et on y boit. Un estaminet, c’est tout simplement comme à la maison. »
Un lieu où la convivialité est érigée en principe. Les avis divergent sur les origines du mot « estaminet ». Tout dépend des puissances qui dominaient la plaine flamande. On évoque l’espagnol « esta un minuto », là où on allait boire un coup vite fait quand l’empire de Charles Quint s’étendait jusqu’aux « Pays d’en Bas ». D’autres soutiennent qu’estaminet vient de l’expression flamande « Sta Mijnheer », (« entrez Monsieur »), inscrite sur les façades. On parle encore du nom wallon « staminé », salle à poteaux caractéristique, ou du flamand « stamen », qui fait référence aux cueilleuses de lin.
Au début du XXe siècle, aller à l’estaminet, c’était s’aventurer sur la mauvaise pente. Lieux de ralliement des contrebandiers entre la Belgique et la France, les pauvres y buvaient leur paie, les notables s’y dévergondaient, quant aux femmes qu’on y rencontrait, on les disait frivoles…
Bon an, mal an, les estaminets ont traversé le siècle jusqu’aux années soixante-dix. Avec la désertification des campagnes, ils ont failli disparaître. Puis, vers les années quatre-vingt, une nouvelle génération a repris le flambeau : les vieux établissements ont été rénovés et transformés en restaurants, bars ou lieux de rencontres, favorisant ainsi une prise de conscience identitaire qui perpétue encore aujourd’hui la tradition flamande. On en trouve des dizaines, dispersés dans la campagne ou dans les villages. Ils émaillent la région comme autant de témoins. Ils en content l’histoire.
La nuit tombe tôt sur la rue principale du petit village de Godewaeschwelde. Fin d’après-midi d’hiver, ciel lourd, pluvieux. Le Café du Centre brille comme un phare. Ancien estaminet-boucherie, il a été repris par un couple chaleureux. Il y a encore les vieux frigos aux poignées chromées. Des crochets à viande, au plafond, pendent des bouquets de houblon.
Il y en avait pour tout le monde, de ces lieux de vie mixtes, carrefour où l’on venait se réchauffer le corps et le cœur : estaminet-coiffeur, estaminet-barbier, épicerie ou marchand de tabac. On profitait en faisant ses courses pour y boire un coup. Ou l’inverse. Ou les deux.
« On peut manger ? Y’a de la truite », répond la patronne attablée avec sa famille. On rapproche une table, on apporte des couverts, on partage le repas. L’hospitalité n’est pas un vain mot. Dehors, trois jeunes gaillards grimés en rois mages chantent en flamand un cantique de Noël. Ils font la tournée des villages, annoncent la Bonne Nouvelle, recueillent quelques pièces dont ils reversent la plus grande partie au Secours Populaire.
« On a toujours fait ça au moment des fêtes, explique César, un Melchior débonnaire. On va chanter pour les vieux, on leur fait écouter des airs qu’ils n’ont pas entendus depuis l’enfance. Y’en a qui se mettent à pleurer. » Dans les Flandres, on se nourrit de la petite histoire et on cultive la mémoire à l’échelle humaine.
Texte : Laurent Boscq. Photo : Manolo Mylonas
Mise en ligne le 22 décembre 2006
http://www.routard.com/mag_reportage/147/4/resistance_contrebande_et_identite.htm
http://grammaire.reverso.net/index_alpha/Test.asp?q=homophones
J'ai obtenu 80%....
Et vous?
MERCI A GINA QUI M' A ENVOYE CE LIEN
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Publié le 12/12 à 10:49 |
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http://cultureetloisirs.france3.fr/artetexpositions/actu/26737361-fr.php
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Ailsa et James ont tout réussi dans leur vie… sauf leurs deux enfants. Leur fils ne pense qu'à une chose - dépenser l'argent de ses parents - tandis que leur fille a plongé depuis bien longtemps dans l'alcoolisme. Aussi, lorsque Ailsa meurt brutalement, dans des circonstances étranges, tout éclate. Rancune, appât du gain, haine… Tels des vautours, les proches de James vont s'abattre sur lui, dans l'espoir de l'achever et de toucher enfin la mise.
Minette Walters vit dans le Hampshire. Mariée et mère de deux enfants, elle est considérée comme la première rivale d'Elizabeth George. A la différence de cette dernière, ses romans mettent en scène à chaque livre de nouveaux personnages. Son style est moins percutant mais les intrigues, bien ficelées, installent un véritable suspense.
LIVRE EN VENTE SUR AMAZON(lien à gauche sur ce blog)
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Publié le 19/12 à 09:02 |
http://cultureetloisirs.france2.fr/livres/bd/26927488-fr.php
Je réponds au questionnaire transmis par Jos(http://www.lelivrophile.com/livroblog) et j'invite les personnes qui se trouvent à la fin du questionnaire à le faire aussi:
7 CHOSES QUE VOUS FAITES BIEN:
Bon, normalement, ce n'est pas à moi de le dire mais...
1.Vivre parce que, comme je ne suis pas sûre qu'il y est quelque chose après, autant en profiter:CARPE DIEM
2.Aimer:c'est ce qu'on me dit
3.Ecrire:c'est vous, chers lecteurs qui me le dites
4.Lire n'importe où, n'importe quand mais pas n'importe quand
5.Rêver
5.C'est difficile... bon ce qui va avec la vie pour moi: manger
7.Boire de l'eau et du champagne (avec modération bien sûr)entre autres
7 CHOSES QUE VOUS NE POUVEZ/SAVEZ PAS FAIRE
1.Dessiner (malheureusement)
2.Vivre sans musique
3.Vivre sans livre
4.Vivre sans télé(malheureusement)
5.c'est encore plus difficile finalement.... Vivre sans amour
6.Rester sans rien faire
7.Envoyer des SMS (et ça ne me manque pas)
7 CHOSES QUI VOUS ATTIRENT DANS LE SEXE OPOSE
1.J'ose ou pas? allez je me lance: son sexe ... opposé
2.Son ouverture d'esprit
3.Sa sensibilité
4.Tout le contraire d'un macho
5. Sa fidélité
6.Sa gentillesse
7.Sa force
7 CHOSES QUE VOUS DITES SOUVENT
1. Bonjour
2. Comment allez-vous?(un vrai rituel ici)
3.Je t'aime
4.Excuse-moi (l'éducation...)
5.Beaucoup de gros mots
6.Merci
7.S'il vous plait
7 BEGUINS POUR UNE CELEBRITE
1.Etienne Daho
2. François Truffaut
3.Gérard de Nerval
4.Charles Baudelaire
5. Georges Clooney
6.Woody Allen
7.Pedro Almodovar
7 PERSONNES DONT VOUS VOUDRIEZ QU'ELLES REPONDENT A CE QUESTIONNAIRE:
1.Ambroise
2.Monette
3.Estelle
4.Elisabeth
5.Didier
6.TAJ
7. Ghislaine
OUF, c'est fini
Mise à jour : 04/01/2007
La mode est reine à Saint Etienne, avec une expo majeure sur le ruban,
« Les Enrubannées », au Musée d'Art et d'Industrie jusqu'au printemps. L'occasion de célébrer
Ce musée exceptionnel, unique en France, rappelle à ses visiteurs que Saint Etienne fut, en son temps, la capitale de la révolution industrielle, avant de trouver, aujourd'hui, une vocation naturelle dans le design.
On passera rapidement sur la collection de cycles qui est la première en France et la collection d'armes, seconde derrière celle du Musée des Armées. Toutes deux issues des manufactures d'armes et de cycles qui ont fait la gloire de Saint Etienne.
Ce que l'on sait peut-être moins, (encore que...) et qui est bien plus flatteur à l'œil et au sens de l'esthétique (encore que aussi...), c'est le caractère unique et exhaustif de la collection de rubans, dont la ville a été et reste, le principal centre mondial.
Le musée abrite 1,5 million d'échantillons de rubans, ceintures de bal, écharpes, tableaux tissés et si la fabrication à domicile n'existe plus, le savoir-faire s'est maintenu et les collections continuent à s'enrichir, avec des rubans techniques et des pièces de Haute Couture.
D'autant que le ruban, qui pourrait sembler d'une autre époque, est en train de retrouver une seconde jeunesse sous le crayon des créateurs et quitte son rôle d'accessoire pour incarner la structure même du vêtement et devenir l'élément constitutif du costume.
C'est à cette découverte que convie l'exposition. L'histoire du ruban et de la soie, des fabriques de passementerie, mais aussi tout le passé et le devenir de la mode, à travers le ruban et ses applications. Avec de formidables conférences gratuites, organisées une fois par mois, pendant toute la durée de l'exposition.
Pratique
Musée d'Art et d'Industrie de Saint Etienne
2, place Louis Comte, à Saint Etienne (Loire)
Tél. : 04 77 49 73 00
Ouvert tous les jours de 10h à 18h sauf le mardi et jours fériés.
Exposition « Les Enrubannées » du 25 novembre 2006 au 23 avril 2007 - Conférences gratuites à 14h30 le 1er février sur les Canons de la Beauté ; le 13 mars sur le Luxe et la Mode et le 5 avril sur le Mannequin : "du portemanteau au top modèle".
Visites guidées des expositions tous les mercredis matins à 10h30, les samedis à 15h et les dimanches à 16h30.
Ateliers adultes et enfants dans lesquels on apprendra à confectionner des bijoux en ruban.
Documentation
A lire également
Tragédie antique dans le Dakota
par André Clavel
Lire, février 2005
Un père allemand, une mère ojibwa: Louise Erdrich est une sorte de Lorelei échappée d'une lointaine réserve du Dakota... C'est là qu'elle a affûté sa plume, avant de devenir - avec Sherman Alexie - la figure la plus emblématique de la jeune littérature indienne d'Amérique. Sa mission? Ravauder la mémoire déchirée de ces communautés qui furent jadis chassées de leur royaume et scalpées par le glaive de la Conquête. Pour l'auteur du Dernier rapport sur les miracles à Little No Horse, l'écriture est donc une catharsis, destinée à rallumer les feux vacillants d'un monde dont les rêves et les mythes risquent de s'éteindre.
Avec La chorale des maîtres bouchers, Louise Erdrich s'aventure sur les terres du réalisme magique, dans le sillage de García Márquez. Peu d'allusions au martyrologe indien, ici, mais un récit flamboyant, incroyablement sensuel. Et construit comme un numéro d'équilibriste, en un long travelling qui relie les cauchemars de la Grande Guerre et les rêves de l'Amérique des immigrés. L'histoire? Celle de l'Allemand Fidelis Waldvogel qui, à peine sorti de l'enfer des tranchées, s'embarque vers le Nouveau Monde. Pour seul passeport, il a sa voix sublime de ténor, et, pour seul bagage, une valise remplie de couteaux. Car il est maître boucher, une sorte de mousquetaire des abattoirs qui finira par atterrir dans une ville perdue du Dakota, à la veille de la Grande Dépression.
Ce Fidelis, aussi habile à faire chanter une lame d'acier qu'à entonner un lieder, Louise Erdrich le met en scène avec une tendresse éblouissante. Mais il y a également tous ces personnages qu'elle pétrit dans la chair de l'Amérique des humiliés. Eva, dont le fiancé est mort au fond d'une tranchée, et qui rejoindra Fidelis dans le Dakota. Cyprian, l'acrobate de cirque qui pourrait sortir d'une toile de Chagall. Delphine, la mère-courage, et son père Roy, un pochard qui picole «pour remplir le vide». Minnie, l'Indienne en cavale. Chacun fera son tour de piste, sur un théâtre d'ombres où la mort va peu à peu surgir des coulisses, comme dans une tragédie antique. Reste la voix d'ange de Fidelis: ses chants célestes servent de contrepoint à ces ténèbres dont Louise Erdrich agite le noir linceul... Ce roman est un somptueux requiem, une cantate pour cœurs blessés, sous la baguette d'une très grande dame des lettres américaines.
Une image de la surface de Mars envoyée par la sonde spatiale Opportunity, le 26 mars 2005.
Biographie
Christine de Pizan, notre première intello
Laurent Theis«Si c'était la coutume d'envoyer les petites filles à l'école et de leur enseigner méthodiquement les sciences comme on le fait pour les garçons, elles apprendraient et comprendraient les difficultés de tous les arts et de toutes les sciences aussi bien qu'eux. » C'est ainsi que s'exprime, en 1405, Christine de Pizan, dans « Le livre de la Cité des dames ». Un brûlot féministe ? On ne connaît, aux oeuvres abondantes de Christine, que les réactions des hommes. Or savants et clercs la prirent au sérieux, exprimèrent même de l'admiration. Les princes ne furent pas en reste : Isabeau de Bavière et Jean de Berry lui portèrent protection, Philippe le Hardi lui commanda une biographie de son frère Charles V, le roi d'Angleterre chercha à la faire venir à sa cour. Trente années durant, dame Christine connut la gloire, et chose rare, elle fut de son vivant représentée sur des miniatures ornant ses manuscrits.
Sans doute ne vient-elle pas de n'importe où. Elle naquit en 1364 à Venise d'un père originaire de Bologne, recruté par Charles V comme astrologue et médecin. Elle grandit dans les choses de l'esprit. Heureuse elle le fut, dix ans durant, dans le couple qu'elle forma avec Etienne de Castel, notaire royal : « Sa compagnie m'était si charmante/Lors qu'il était près de moi/Aucune femme n'était/Plus comblée de bonheur. » Son veuvage ouvrit une décennie de difficultés morales et matérielles. Devenue sans doute copiste de manuscrits, elle fit paraître un premier recueil de poésies en 1399. Désormais, les publications se succèdent contre bon argent.
Là est d'abord son originalité, bien mise en évidence par Simone Roux : elle est la première femme connue pour vivre de sa plume, qu'elle met au service de tous les savoirs et de tous les débats, y compris politiques, à l'exception de la théologie, inaccessible à son sexe. Elle est la première à écrire en français. Plus encore, elle revendique, à la première personne, sa condition de femme, réclamant autant d'émancipation que le XVe siècle permet d'en concevoir. Aussi n'est-ce pas par hasard que son dernier texte soit le premier hommage littéraire « à Jehanne d'Arc », « toi jeune Pucelle à qui Dieu donne la force et le pouvoir d'être la championne »
Nous avons pris en compte les commentaires, remarques et suggestions que vous avez été nombreux à nous laisser sur le blog du festival. Vos réactions sont pour nous le signe que ce festival a une vraie raison d'éxister, même s'il a, comme tout premier événement, ses imperfections. Nous faisons le maximum pour régler le problème de votes frauduleux auquel nous sommes confrontés. Un spécialiste, consultant en réseau informatique nous a soutenu aujourd'hui dans cette tache. Comme certains l'ont remarqué, les votes ont été mis à jour pour mieux rendre compte de la réalité. En effet, certains ont contourné le système pour voter plusieurs fois pour le même site. Cependant, toutes les traces des requêtes vers le serveur sont archivées au fur et à mesure. En se basant sur ces traces, nous avons pu identifier les tentatives de fraude et rétablir les votes corrects. Le nombre de voix que vous observez ce soir reflète donc la réalité des votes des internautes. Nous avons fait le choix de ne pas remettre les compteurs à zéro pour ne pas pénaliser les sites qui avaient obtenus leurs voix de manière loyale. Le concours continu donc. Nous vous donnerons demain plus d'information et de détails sur ce qu'il s'est passé et sur le nouveau système de vote, que nous nous efforçons de sécuriser au maximum.
http://www.festivalderomans.com/
Donc, pour ceux qui n'ont pas encore voté:http://www.festivalderomans.com/detail.php?id_part=562&cat_part=1
Si vous voulez revoir ou si vous avez tout simplement raté la diffusion de ce superbe film de Yann Arthus-Bertrand, rendez-vous dès le vendredi 5 janvier sur france2.fr pour le retrouver en Vidéo à la demande !
Jusqu'au 10 janvier, votez pour votre chanson préférée parmi 40 chansons au fil de 4 décennies ! Elle sera révélée lors de la soirée de la Fête de la chanson française présentée par Daniella Lumbroso.
http://programmes.france2.fr/la-fete-de-la-chanson-francaise/27094858-fr.php
Pour ma part, j'ai voté pour "La bohème" de Charles Aznavour mais beaucoup d'autres me plaisaient.
Mise à jour : 04/01/2007
Les eaux digestives pétillent sur les tables de fête et participent à la remise en forme des organismes surmenés par les agapes des réveillons. Petit tour des sources régionales.
Pour se remettre des fêtes, rien ne vaut une bonne cure d'eau minérale digestive... à domicile. On met Badoit de son côté, par exemple. Elle vient des profondeurs des sous-sols du Forez et ses vertus digestives ne sont plus à démontrer.
Elle trône toujours en bonne place sur les tables des meilleurs restaurants et se marie parfaitement avec les grands vins. Mieux encore, elle se suffit à elle-même et met en valeur les plats les plus raffinés. Elle contient, de plus, une quantité notable de magnésium (85 mg par litre, c'est une des eaux minérales françaises gazeuses les plus riches en magnésium), ce qui est souverain contre la fatigue.
La bonne nouvelle, c'est aussi l'existence de la Badoit rouge qui contient deux fois plus de bulles dans une bouteille spécialement traitée pour bien conserver l'effervescence. Idéal pour ce qu'on a !
Parmi les autres trésors qui jaillissent en Rhône-Alpes et nous aident à retrouver la forme, on citera l'eau de Thonon pour tous ceux qui craignent les bulles et dont les effets sur la digestion sont souverains, grâce aux bicarbonates qu'elle contient. Elle n'est pas non plus avare en sulfates qui assurent l'élimination des toxines dans l'organisme.
Plus confidentielle, la source César qui jaillit à Saint Alban les Eaux, dans la Loire. Très riche en sels minéraux, elle est « déferrisée » puis re-gazéifiée avec son propre gaz et comme elle se caractérise par une brillance exceptionnelle, elle est superbe dans un très beau verre. Comme toutes les autres, on veillera à la consommer fraîche, mais pas trop froide.
Last but not least, au chapitre des curiosités minérales, on citera encore la source Vernet, à Prades en Ardèche, la plus pure des eaux pures qui ne contient ni nitrates, ni nitrites et dont les bulles peuvent accompagner tout un repas voué à la modération. Elle est aussi naturellement riche en fluor et en bicarbonates.
En Rhône-Alpes, les sources ont de la ressource !
Pratique
Pour connaître les eaux de la région
avec les eaux minérales classées par région notamment.
Les eaux de Badoit, à St Galmier (Loire)
ot-stgalmier.fr
L'eau de Thonon (Haute-Savoie)
La source Vernet, à Prades (Ardèche)
Documentation
A lire également
L’association Terres d’écrivains a été créée en juin 1998.
Son objectif est de
"promouvoir la littérature et l’écriture, en particulier en apportant une meilleure connaissance sur les écrivains et les auteurs, sur leurs oeuvres, sur leur vie et les lieux qu’ils ont marqués par leur présence ou leur imagination."
(extrait de l’article 2 des statuts).
Ses membres fondateurs sont Isabelle Bourbon, professeur de Français, Nathalie Defert, libraire, Tanneguy Ramière de Fortanier, ingénieur - auteur du site sur la convergence numérique converge-blog.ouvaton.org -, et Jean-Christophe Sarrot, chargé de mission nouvelles technologies. L’association a tout d’abord développé un premier site internet sur les maisons d’écrivains, créé en septembre 1997 à l’adresse www.airlibre.com.
Le site www.terresdecrivains.com a été ouvert le 18 septembre 1999 dans le cadre des Journées du Patrimoine, pour succéder au premier. Des auteurs ont accepté de parrainer ce nouveau site et des partenaires ont accepté de contribuer à son développement : les Editions Alexandrines, 00h00.com et auteurs.net
Dans une entreprise, cinq cannibales viennent d'être embauchés en tant que programmeurs.
Lors de leur arrivée, le directeur leur dit :
- Vous pouvez travailler ici, gagner beaucoup d'argent et manger dans la
Cantine. Mais laissez les autres collaborateurs tranquilles. Les cannibales promettent de n'embêter personne....
4 semaines plus tard, le directeur revient et leur dit :
- Vous travaillez très bien. Mais il nous manque une femme de ménage,
Est-ce que, par hasard, vous savez ce qu'elle serait devenue ?
Les cannibales répondent tous par la négative et jurent n'avoir rien à
Faire avec cette histoire.
Dès que le directeur est parti, le chef des cannibales demande :
- Quel est le con parmi vous qui a mangé la femme de ménage ?
Le dernier au fond répond d'une petite voix :
- C'est moi....
- Pauvre abruti !! Depuis 4 semaines on ne se nourrit que de chefs de Service, de gestionnaires de projets, de chefs de projet, afin que personne ne remarque rien, et toi il faut que tu en bouffes une qui travaille !!!
Devant la multiplication des votes frauduleux et la recrudescence des tricheurs, nous avons pris la décision de suspendre et annuler le vote actuel pour développer un système d'avantage sécurisé. Les votes acquis depuis le 1er janvier sont annulés pour tous les participants. Dès que nous serons prêts, nous remettrons tous les compteurs à zéro et nous relancerons le vote des internautes qui, nous l'espérons, permettra enfin de faire émerger les meilleurs participants, connus ou inconnus, mais en tout cas honnêtes. Tous les membres de l'organisation du Festival de Romans sont attachés à l'intégrité des votes et nous ne pouvons transiger avec la fraude dans la mesure où notre ambition réelle est l'émergence de nouveaux talents.
Tiziano Vecellio, dit Le Titien (1488/90-1576), acteur indiscutable de la scène artistique européenne du XVIe siècle, est réputé pour les portraits qu’on lui commande de toute l’Italie, puis de l’Europe entière. Ses portraits, que l’on peut qualifier «d'officiels » ou « d’État » ne se contentent plus seulement de capturer la physionomie et le maintien de l’individu mais reflètent désormais son statut social: au-delà de la simple représentation, ses portraits formalisent et pérennisent la place occupée par le modèle dans la société.
Grâce à cela, il reçut d’importantes commandes, notamment des ducs de Ferrare, de Mantoue et d’Urbino, et des familles Gonzague, d’Este et della Rovere. Puis l’empereur Charles Quint le nomma premier peintre de la cour des Habsourg Dans une scénographie évoquant une galerie de l’époque, l’exposition révèlera l’extraordinaire talent de portraitiste du Titien, auteur d’un véritable reportage sur les grandes figures des pouvoirs politique, religieux et culturel en Europe au XVIe siècle. Cette exposition est organisée en collaboration avec le Museo di Capodimonte de Naples, où sont présentés, du 23 mars au 4 juin 2006, dans une exposition plus ample sur le portrait de cour au XVIe siècle, une partie des chefs d'œuvre du Titien qui seront exposés au Musée du Luxembourg.
Les inscriptions au concours sont terminées. Tous les participants sont maintenant soumis au vote des internautes.
Voilà comment les choses se passent :
Tous les sites/blogs/espaces sont en lien sur le site du Festival de Romans, tels qu'ils se sont déclarés et avec la description qu'ils auront eux-mêmes choisis d'écrire (les fiches détaillées sont l'oeuvre de leurs auteurs respectifs). Les internautes peuvent voter pour un nombre illimité de participants, mais ne peuvent voter qu'une fois pour un participant donné.
En d'autres termes, si vous votez, vous pouvez apporter votre voix à chaque fois que vous avez découvert un espace qui vous plait et dont le talent mérite votre suffrage, mais vous ne pouvez le faire qu'une seule fois pour cet espace.
Le 20 janvier prochain à minuit, les 10 espaces ayant obtenu le plus grand nombre de voix dans chacune des catégories seront qualifiés pour la finale du festival et seront soumis à l'examen d'un jury de professionnels qui délibérera pour élire le meilleur d'entre eux.
Le nombre de voix recueillies par chacun sera affiché sur le site du festival et consultable à tout moment.
http://www.festivalderomans.com/
VOUS POUVEZ VOTER POUR MON BLOG A L'ADRESSE SUIVANTE:http://www.festivalderomans.com/detail.php?id_part=562&cat_part=1