Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
547 romans pour le début 2008 !

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Anne BRIGAUDEAU Publié le 02/01 à 14:14 |
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Anne BRIGAUDEAU Publié le 02/01 à 14:14 |
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La pointe de l'Ile de la Cité à Paris ou se trouve le Mémorial - DR
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Publié le 02/01 à 11:26 |
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http://cultureetloisirs.france2.fr/patrimoine/actu/37904673-fr.php
Tous mes voeux poétiques en ce début d'année,
que le thème du Printemps des Poètes 2008, "Eloge de l'autre" apporte paix et humanisme dans le Monde.
Le 3ème SALON DE LA POESIE NJART ® les 8 et 9 mars 2008 Dans le cadre du 10ème Printemps des Poètes Les inscriptions sont ouvertes SALON de la POESIE |
Le salon de la poésie organisé par NJART et son équipe ouvre ses portes cette année dans le cadre idyllique de la commune de Peillon.
Vous serez accueillis dès 9 heures dans les spacieux locaux de la salle des fêtes.
Afin de garder l'esprit convivial des SALONS NJART, le nombre de poètes exposants est limité à 12.
Les premiers inscrits dont le dossier sera complet seront retenus. Clôture des inscriptions 15 février 2008.
N'hésitez pas à me contacter pour tout complément d'information, je me ferai un plaisir de vous répondre.
Poétiquement vôtre
Nelly Johnson
NJART
http://www.njart.fr
Retrouvez les 32es de finales
de la Coupe de France opposant Auxerre à Saint-Etienne
en direct sur notre antenne régionale
samedi 5 janvier à 20h55
http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/animationnouvellehome/une/26956275-fr.php
Le Muséum national d'histoire naturelle, à Paris, vous propose jusqu'au 8 mai 2008 une splendide plongée dans les Abysses, exposition dont nous vous présentons quelques visuels. Toutes les infos pratiques (dates, horaires, tarifs) sur le site consacré à l'exposition.
et reportage photo sur mon site source:http://www.lexpress.fr/info/quotidien/reportage-photo/default.asp?id=463403
http://pietraliuzzo.fr/ETEsicilien.htm
http://pietraliuzzo.fr/angeRio.htm
Aquarelle de Chantal Jodin
1.Appliquer plus intensément la maxime d’Horace(reprise par moult écrivains ensuite) : CARPE DIEM d’où
2. Profiter de chaque minute de bonheur d’où
3.Essayer de ne pas penser à plusieurs choses en même temps
4. Ne plus faire plusieurs choses en même temps
5.Sortir plus de chez moi d’où
6.Déconnectez plus du PC
7. CARPE DIEM
Comme vous le savez c’est l’époque où les gens font des résolutions pour l’année prochaine (après avoir fait le bilan de l’année passée). Nous avons fait notre bilan grâce au jeu de Captainelili, nous vous proposons donc maintenant de faire la liste de vos résolutions. Pour limiter le travail, nous vous demandons 7 résolutions, mais nous insistons pour que ce soient des résolutions précises (exclu donc les souhaits généraux « contribuer à la paix dans le monde »).
Merci de nous signaler votre participation en commentaire, en faisant un lien avec votre note sur votre blog.
http://lequipedechoc.over-blog.com/article-15034012-6.html#anchorComment
Les visiteurs de la Tour Eiffel pourront faire un parcours en raquettes au 1er étage sur de la neige artificielle, à l'occasion de l'exposition "Rendez-vous aux pôles" qui se tiendra du 19 décembre au 31 janvier, a annoncé mardi la société d'exploitation de la Tour Eiffel.
Source: Yahoo actualités
Bonne nouvelle pour tous ceux qui redoutent la fin de l'année et son overdose de famille-bouffe-cadeaux: deux petits livres drôles et méchants apportent de l'eau à leur moulin rabat-joie, avec un mauvais esprit réjouissant.
D'illustres représentants de ces grincheux - d'Alphonse Allais à Jules Renard, en passant par Pierre Dac, Cioran, Oscar Wilde, etc. - sont à l'honneur dans Je hais Noël, d'Eric Momus, véritable vade-mecum lettré pour repousser l'assaut des hôtes et des offrandes: «Les recevoir du bout des lèvres, du bout des doigts et, enfin, du bout des pieds», conseillait Jules Renard. Pour détendre l'atmosphère, ce bon mot des Nuls: «Quelle est la différence entre un curé et un arbre de Noël? Aucune: dans les deux cas, les boules, c'est pour décorer.»
Plus pragmatique, Jean-Loup Chiflet indique Comment résister aux fêtes de fin d'année avec moult conseils aussi avisés que facétieux. De l'art de se rebeller en rigolant!
Comment résister aux fêtes de fin d'année Jean-Loup Chiflet éd. Chiflet & Cie 127 pages 10 € 65,6 FF | |||
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http://www.myspace.com/marlenguerin
...Moi, qui ne voulait pas en parler ici...
vxecriture2008.doc
http://www.chez-ivana.com/voeuxdelan2008.htm
http://url-ok.com/211830
Une partie du texte de mes notes et de vos commentaires se met en jaune, ce qui est illisible, je le sais, sur fond orange...
J'attends la réponse de HF.
Excusez-moi pour cette gêne.
Et si quelqu'un a la solution....
À la mi-nuit quand la lune se dentelle
Le jour nouveau veille l’horizon
Et le soleil attend patiemment son tour
Au confort des bras de la nuit douce
Et le soleil attend patiemment son tour
Au confort des bras de la nuit douce
Alors que le solstice a déjà sonné
Le glas des journées automnales
Et l’hiver qui se phare de blanc neige
Pour meubler la terre de ce lieu
Brûlure du froid en couverture
Pour une sève printanière
Chaleur de tes bras
Qui m'habillent d'amour
Chaleur de ton coeur
Qui dénude mon âme
Et les flammes dans l'âtre
Dansent au feu de tes yeux
Brûlants comme la braise
Où crépite mon âme.
Peu importe l'orage
Qui se déchaîne au dehors
Nous ne sommes que douceur
Au crépuscule du matin
Quand l'heure tournera vers demain
Que l'aiguille pointera l'an nouveau
M'embrasseras-tu sous le gui suspendu
Ta bouche en accroche-coeur ?
Ou me dira t-elle des mots définitifs
De rupture ou d'engagement
D'un nouveau temps contre
Ou tout contre toi
Les participants:Réal - Ulysse - Laura Vanel-Coytte - Moun
http://regards-poetiques.clicforum.fr/t1683-Nouveau-petit-collectif.htm?start=20#p22616
Si vous souhaitez participer(ce serait sympa), inscrivez-vous sur ce forum, "Regards poétiques" de Moun, de très bonne qualité...
Mary Gentle vit à Stevenage, non loin de Londres. Née en 1956 dans le Sussex, elle a écrit son premier livre à 15 ans. Les lecteurs français l’ont véritablement découverte en 2004 avec la traduction en quatre tomes du Livre de Cendres, une vaste fresque de violence et de sang mettant en scène Cendres, une femme de 19 ans. Avatar de Jeanne d’Arc et de… Cendrillon.
L’histoire a oublié cette guerrière blonde au visage balafré, capitaine d’une troupe de mercenaires. La légende dit que, stratège hors pair, elle était guidée par la voix d’un saint. En 1476, Cendres se dresse sur la route des Carthaginois qui envahissent le sud de l’Europe pour détruire l’empire de Frédéric de Habsbourg. Mary Gentle raconte son épopée en mêlant de faux documents d’époque retrouvés par Peter Ratcliffe, un historien contemporain, et sa correspondance avec l’éditeur.
Son roman suivant, l’Enigme du cadran solaire, part de l’assassinat d’Henri IV par Ravaillac, puis se déplace en Grande-Bretagne où règne Jacques Stuart. Depuis, l’auteur a publié Ilario, une sorte de suite au Livre de Cendres, qui se situe deux générations avant. Elle vient tout juste de signer un contrat pour un prochain roman qu’elle veut situer autour de 1820 en Italie. Mary Gentle donne de rares interviews. «Que dire de plus que mes livres ?» dit-elle. Rencontre à Londres.
Le premier chapitre de «l’Enigme du cadran solaire», qui raconte à la première personne la découverte des manuscrits de Rochefort, est-il autobiographique ?
C’est moi qui prétends être moi… Une critique a même écrit quelque part que j’avais dit la vérité, et que le manuscrit était bien celui des Mémoires de Rochefort, traduit du français. J’ai trouvé ça vraiment mignon. Il faut plutôt y voir le résultat de la forte influence de Lovecraft et surtout de Rider Haggard, un auteur très populaire en Angleterre. Je l’ai lu pour la première fois à 9 ans. Je venais de dévorer le Seigneur des anneaux de Tolkien, et l’enfant avide de lectures que j’étais n’en avait pas eu assez. Ce fut une révélation. Rider Haggard avait pour habitude de remettre en question toutes les évidences pour bâtir une histoire. Le lecteur en arrive à se demander si ce n’était pas réel. Dans les premiers chapitres de She, il présente des documents archéologiques pour amener à croire à l’existence d’une femme vieille de deux mille ans. Lovecraft crée son Necronomicon de la même manière, avec l’appui de lettres, d’articles de journaux… Je suis littéralement tombée amoureuse de ce cadre de narration. Pour le Livre de Cendres, cela m’a paru assez naturel. J’ai imaginé croiser deux niveaux de temporalité : 2000, avec l’historien Peter Ratcliffe qui travaille sur des documents datant de la fin du Moyen Age, et 1476, l’Europe transformée en champ de batailles avec Cendres pour héroïne. L’Enigme du cadran solaire joue un peu sur le même tableau.
Comment expliquez-vous cette passion pour l’histoire ?
Elle vient peut-être de mon expérience personnelle : jusqu’à l’âge de 10 ans, j’ai passé beaucoup de temps avec mon grand-père, le père de ma mère adoptive. Il vivait à la campagne, sans électricité, sans eau courante, et il fallait aller ramasser du bois pour alimenter le poêle. Les arbres craquaient. J’adorais ça. Mon grand-père n’avait jamais peur de rien. Grand voyageur dans sa jeunesse, il aurait aimé être écrivain, mais je crois qu’il était meilleur conteur. Je me rappelle d’histoires incroyables au sujet de monstres volants. C’est lui qui m’a appris la valeur des histoires. Il m’enseignait des tas de choses qui énervaient ma mère, comme siffler ou grimper dans les arbres. Pour lui, une fille devait être capable de faire les mêmes choses qu’un homme. Il est mort quand j’avais 10 ans, mais il m’a énormément marquée.
Des études inspirent-elles vos romans ?
Adolescente, je ne pensais pas aller à l’université un jour. J’ai quitté l’école à 16 ans, quand ma mère a décidé que mon job de cet été-là deviendrait permanent. J’ai fait divers petits boulots tout en écrivant. Mon deuxième roman a été publié quand j’avais 18 ans. A 25 ans, je me suis dit qu’il me fallait obtenir des qualifications pour trouver un travail. J’ai découvert que j’aimais les études, et que les cours pouvaient me fournir quantité d’idées pour des fictions. Depuis, j’ai obtenu deux masters à l’université de Londres : le premier sur le XVIIe siècle, qui m’a beaucoup appris en histoire des sciences ; le second sur la guerre, que j’ai suivi au moment de la première guerre du Golfe. Voir le monde du point de vue militaire est fascinant. Mon intérêt pour la guerre n’était pas nouveau : je l’avais pratiquée sous l’angle ludique par le biais du jeu de rôle. J’ai également appris à me battre à l’épée quand j’ai voulu écrire l’Enigme du cadran solaire, vers 1989. Je m’intéresse aux épées depuis l’adolescence. J’avais Cendres en tête avant d’entamer ces études sur la guerre, mais j’avais besoin d’engranger. Je savais que ce serait un roman épique qui allait me demander de profondes connaissances historiques. Mais l’université n’a pas seulement été un moyen d’alimenter mes romans, j’adore le travail académique.
Vous pratiquez une sorte d’histoire spéculative. Pourquoi ?
Dans l’Enigme du cadran solaire, Valentin Raoul Rochefort, qui n’a bien sûr jamais existé (il est un conglomérat de mauvais garçons), remplit un creux de l’histoire. La mort du roi Henri IV à Paris en 1610 s’est déroulée dans une atmosphère de conspiration sujette à spéculations. J’en ai profité pour remplir les «vides». D’où Rochefort. L’idée est de parvenir à le faire si habilement que nul ne peut prouver que cela n’est pas arrivé. J’en profite aussi pour remettre de la lumière sur des événements occultés. C’est le cas dans le Livre de Cendres, où je réhabilite à ma manière un acteur d’importance, le duché de Bourgogne.
Dans les sources historiques anglaises, la Bourgogne n’existe que comme si elle n’avait été qu’une province de France. Elle a disparu de la conception populaire de l’histoire européenne presque instantanément quand Charles de Bourgogne a été tué à la bataille de Nancy en 1477. Je n’en connais évidemment pas la raison. Mon roman propose une explication, qui n’est probablement pas la vraie, mais elle me plaît. Est-ce une forme de réflexion sur l’histoire ? Imaginer des pistes spéculatives vient sans doute de ma conviction que l’histoire est une construction. On en attend certes un plus grand degré de véracité que de la fiction, mais elle reste une construction. Quelles que soient les recherches que je mène aujourd’hui dans des archives, elles seront dépassées dans trente ans. Dans l’intervalle, de nouveaux manuscrits vont émerger, des documents anciens auront été réévalués… L’histoire ressemble à un puzzle, le passé laisse une poignée d’indices et de reliques derrière lui. Et le jeu que j’affectionne particulièrement est de caser une histoire secrète dans les interstices de l’histoire telle que nous la connaissons. Beaucoup d’événements et de personnages du Livre de Cendres et de l’Enigme du cadran solaire ont existé sur le papier. J’imagine des possibles en me débrouillant pour que le lecteur ne puisse pas voir les coutures.
La violence ne vous fait pas peur…
Cendres est aussi violente qu’elle aurait pu l’être en 1476. C’était une époque barbare. Certaines scènes me sont parfois insoutenables : j’écris d’une main quand l’autre s’occupe ailleurs. Je sais que ces passages doivent être là pour le vrai, donc il me faut les écrire. La plupart des sources dont nous disposons viennent du XIXe siècle, du romantisme, avec l’idée que les méchants sont punis et tués. La réalité n’est pas comme ça. La sensualité et l’érotisme non plus. J’ai fait cinq ou six titres érotiques lorsque j’écrivais Cendres, principalement pour des raisons financières. Ils étaient destinés à un éditeur de Londres qui publiait une collection de livres érotiques écrits par des femmes, «Ex-Libris». J’ai eu beaucoup de plaisir à les faire. Je suis pour que les femmes aient accès à la fantaisie sexuelle, comme les hommes par le passé. Par ailleurs, c’est un excellent exercice d’écrivain : l’écriture érotique doit faire ressentir par le biais de tous les sens et à l’instant même où elle se dévoile au lecteur. J’écrivais ces livres sous le pseudonyme de Roxanne Morgan. Roxanne était le nom de mon personnage dans un jeu de fantasy «grandeur nature» avec des décors médiévaux. On se retrouvait à deux mille personnes tout un week-end d’août, chacun prétendant être quelqu’un d’autre. J’ai pensé que Roxanne pouvait aussi écrire ses propres livres.
Marie-Douce Albert
21/12/2007 | Mise à jour : 11:24
«Certes, on n'a jamais rien vu de plus grand, majestueux, chaud, murmurant, soupirant, soufflant, fort, gracieux, élégant, érotique puissant et féminin qu'une locomotive à vapeur.» Michel Tournier aurait pu ajouter « inspirant » à cette liste de qualificatifs. Car depuis qu'il galope sur le rail, le train n'a cessé de fasciner les artistes. La SNCF a donc décidé de fêter son70 e anniversaire en consacrant une grande exposition au Grand Palais, à Paris, à ces liaisons voyageuses entre l'art et le fer.
La Société nationale des chemins de fer français, qui a vu le jour le 1er janvier 1938, transforme pour l'occasion le monument parisien et sa grande voûte de verre en gare, avec ses quais, mais aussi ses trains. Pour L'Art entre en gare, quatre motrices y sont entrées pour deux semaines d'arrêt, à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 6 janvier, avant de reprendre les rails jusqu'à la fin janvier pour s'arrêter dans 18 villes.
«Pour cet anniversaire, nous avons voulu ne pas être simplement techniques. Nous cherchions à susciter de l'affection, de l'émo tion », explique Anne-Marie Idrac quipréside la SNCF. «Or, tout le monde a eu des histoires d'amour ou de départ dans une gare.» Tant et si bien que les artistes se sont emparés de ce magnifique terrain d'aventure humaine, les poètes, les peintres, les photographes et évidemment les cinéastes. SergeGarcin, spécialiste de l'image, et Emmanuelle Nobécourt, réalisatrice, ont ainsi visionné 160 films et presque autant de scènes mythiques. Ils en ont retenu une trentaine qu'ils ont enchaînés pour construire une histoire de six minutes projetée dans le petit cinéma installé pour l'occasion au Grand Palais, pendant laquelle on voyage de La Bête humaine , en compagnie de Gabin, jusqu'aux Poupées russes avec Romain Duris.
«Le voyage est un temps libre pendant lequel tout peut arriver, constate Serge Garcin. C'est pour cela qu'il excite l'imagination. Vous ne pouvez pas savoir le nombre de demandes de tournage que reçoit la SNCF. C'est colossal.» Effectivement, cette année, la société a satisfait la grande majorité des quelque 500 demandes qui lui sont parvenues pour le besoin de films, de documentaires ou encore d'émissions de télévision.
Mais la SNCF ne fait pas qu'inspirer les créateurs, elle les embauche au besoin. Ainsi pourra-t-on découvrir une magnifique collection d'affiches vantant le rail signées Savignac, Dufy, Buffet ou même Dali, ou encore apprécier le nouveau design intérieur des TGV, imaginé en rouge et violet par Christian Lacroix. Le styliste est aussi à l'origine de la garde-robe actuelle du personnel de bord qui avait auparavant pu procéder au « contrôle des billets s'il vous plaît » en Balsan ou en Balenciaga.
Un souci de l'esthétique auquel les trains eux-mêmes n'échappent pas. En imaginant la motrice du TGV orange vif, Philippe Mirville, qui préside la Cité du train deMulhouse, rappelle ainsi « que cette livrée avait été choisie pour être en rupture totale avec le traditionnel vert des trains. Et si son nez très profilé lui permettait un meilleur coefficient d'insertion dans l'air, il lui donnait auss i cette forme de flèche qui ne ressemblait à aucun autre train ». L'exposition n'oublie pas non plus les gares et leur architecture calculée pour être, certes, pratique, mais aussi emblématique. Est-ce la raison pour laquelle Georges Perec se demandait : « Peut-être le bonheur n'est-il que dans les gares ? » Pour quelques jours, il est sans doute un peu au Grand Palais.
Des téléphones portables aux photos des "ex", des dizaines de New-Yorkais dépités ont jeté vendredi leurs pires souvenirs de l'année écoulée dans un broyeur de détritrus installé à Time Square. suite...
Source: Figaro.fr
cf. aussi la note d'hier
Marie-Catherine Beuth
28/12/2007 | Mise à jour : 21:55 |
Reconquérir le terrain abandonné aux acteurs technologiques. Si Google veut créer son encyclopédie numérique, pourquoi les Presses universitaires de France (PUF) ne se lanceraient-elles pas dans le Web participatif ? L'éditeur de la collection «Que sais-je ?» en fait le pari en créant une plate-forme collaborative basée sur le système Wiki. Grâce à cet outil de gestion de contenus libre, fondement de l'illustre encyclopédie Internet Wikipédia, les internautes pourront commenter articles, ouvrages et fiches d'auteurs. PUF entend reproduire ainsi sur le Net une vie scientifique ouverte, pour un investissement de 150 000 euros.
«Nous sommes bien placés pour lancer ce site : les premiers utilisateurs d'Internet étaient des universitaires», rappelle Michel Prigent, président du directoire des PUF, dont le site était jusqu'ici un catalogue en ligne. Éditeur de dictionnaires, présent dans toutes les disciplines, PUF expérimente depuis un an la diffusion numérique payante de 40 revues. Sur la plate-forme Wiki, gratuite, les Presses universitaires offrent maintenant toutes les entrées du Dictionnaires des sciences humaines, accompagnées d'une bibliographie et de corrélats. Chaque fiche comporte un onglet «discussion», où internautes, étudiants, confrères peuvent nourrir le débat avec leurs commentaires. «Notre site devient un moteur de recherche de nos collections avec une arborescence interdisciplinaire colossale, souligne Michel Prigent. Les éditeurs doivent fournir des services sur les savoirs et un accès à leur fonds. » Ces découvertes de documents pourront déboucher sur une transaction chez un e-libraire comme Amazon ou Fnac.com.
Disponible à l'essai depuis début décembre pour un lancement courant janvier, le site a été conçu par l'agence interactive Nurun, qui s'est interrogée sur la place d'un éditeur sur le Web. «Les étudiants manquent d'endroits où trouver des références solides. Wikipédia draine beaucoup de monde pour trouver les premières réponses, indique Jean-Pascal Mathieu, vice-président stratégie de Nurun. Or, le métier des PUF est de donner une valeur référente. Nous sommes partis de là.» Il en est né «une plate-forme de savoirs plutôt qu'un site d'éditeur», où les auteurs d'articles créent leur propre fiche biographique avec des liens bibliographiques et des mots-clés. «La spécificité des PUF est son grand nombre d'auteurs, d'environ 15.000. L'idée est que l'auteur organise un moteur autour de lui et son univers de recherche, détaille Michel Prigent. Nous avons ainsi une grille sociale et une certification des contenus.»
Le français se distingue ainsi des articles de Wikipédia, à la légitimité hasardeuse, et de la hiérarchisation façon Google, basée sur la popularité des sujets. Mais le site Wiki des PUF se veut une alternative, pas un concurrent. «Internet est un moyen de multiplier les accès à des outils différents. Il y avait la nécessité de rendre un service à l'internaute et de rétablir la passion de la lecture», estime Michel Prigent. Mieux, «Internet nous conduit à réimprimer des ouvrages».
La nouvelle plate-forme, où sont déjà présentés les 5000 ouvrages des PUF, sera également une belle vitrine pour le marché des droits étrangers.
Une proposition de jeu qui vaut ce qu’elle vaut: puisque nous arrivons en fin d’année et à l’heure des bilans, pourquoi ne pas écrire un texte sur :
- notre meilleur moment de 2007
Toujours un de ceux passés avec mon mari
- notre pire moment de 2007
Celui où nous avons décidé de quitter le Maroc
- notre plus grand espoir pour 2008
Sortir la tête de l’eau
http://kimelia2vis.blogs.psychologies.com/