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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1332

  • Nous avons vu samedi 24 au soir:Design-Le monde arabe livre ses intérieurs: L'exposition itinérante de Vitra Musuem au Sacré Cœur à Casablanca

    (Le Matin 15/11/2007)

    Les splendeurs de l'architecture et de l'art d'intérieur dans le monde arabe s'invitent à Casablanca, le temps d'une exposition. «Living under the crescent moon» prendra en effet place du 15 novembre au 8 décembre prochain à l'ex-cathédrale du Sacré Cœur.

    A l'origine de cet évènement, Caractere Events, le département pour l'évènementiel du groupe Caractères, en partenariat avec la banque HSBC. Produite par le prestigieux Vitra Design Museum, un des musées de design les plus célèbres au monde, cette exposition itinérante fait escale dans la ville blanche. Après son énorme succès à Berlin, à Bangkok, à Singapour et à Madrid, c'est au tour des Casablancais de découvrir la beauté de l'art d'intérieur dans les pays arabes. «Living Under The Crescent Moon» nous livre des trésors, à travers des maquettes, des photographies et des films.
    Dans sa configuration complète, l'exposition emmène le visiteur dans une visite des villes arabes avec leur architecture nomade et rurale, moderne et traditionnelle.

    Alors que le savoir du monde entier sur les pays arabes se limite à leurs affaires politiques et problèmes sociaux, le Vitra Design Museum a exploré les mythes et les réalités cachées des pays arabes par son exposition, qui est une véritable découverte au cœur de la culture arabe, de son architecture et de sa vie domestique. Ainsi, les amateurs des arts, les chercheurs et les étudiants avides de savoir, pourront voir certaines formes de vie domestique qui leur sont encore inconnues. Du Yemen au Maroc, en passant par l'Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, le Liban, l'Egypte…l'exposition montre et démontre la diversité des modes de vie entre les différents pays et leurs différentes populations.
    Les casbahs du sud marocain, les riads et leurs patios ouverts, les tentes des touaregs du Sahara, les maisonnettes des bédouins du désert, sans oublier les bâtisses modernes et leur art déco signé par des architectes comme Hassan Fathy, Elie Mouyal ou Abdelwahed El-Wakil.

    Les pièces construites de divers matériaux dont la terre cuite, la peau d'animaux et les palmes fournissent aux visiteurs l'occasion de voir de nouveaux types de bâtiments. Les intérieurs qui sont composés d'objets de céramique, d'argile et de textile originaux laissent voir le mode de vie simple et pratique chez certaines populations arabes. Le tout, installé dans un ordre compliqué mais commode, transmet la sensualité raffinée de la vie chez les Arabes. En étalant certaines maisons, «Living Under The Crescent Moon» introduit le visiteur dans une sphère traditionnellement protégée et impénétrable par les étrangers. Le spectateur se voit alors en train de comparer sa vie de tous les jours à celle des autres. Les routines quotidiennes de la vie privée diffèrent d'une région à l'autre, on se pose alors des questions sur le sommeil, le manger, la vie de famille, le ménage… Malgré son aspect traditionnel, l'héritage riche des cultures arabes révèle une modernité étonnante à travers la multifonctionnalité des pièces et des objets, les systèmes régulateurs des températures intérieures, ainsi que l'utilisation efficace de l'eau.
    L'exposition ne se limite pas à nous faire visiter les intérieurs arabes, mais elle nous présente également les techniques adoptées par certains des grands noms de l'architecture dans le monde arabe.

    Outre les Arabes, d'autres architectes étrangers modernes se sont laissé influencer par l'art d'intérieur et en ont fait leur principale inspiration. Cette influence réciproque associée à la mondialisation a cependant laissé quelques traces négatives sur les bâtiments arabes selon les initiateurs de «Living Under The Crescent Moon». La décadence des centres-villes historiques, le changement démographique causé par l'exode rural, l'apparition de villes satellites…sont autant de problèmes qui ont nui aux formes traditionnelles des intérieurs arabes. Si vous êtes curieux de savoir comment les autres vivent, rendez-vous à l'ex-cathédrale du Sacré Cœur de Casablanca à partir d'aujourd'hui.
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    Une occasion unique
    Certaines formes traditionnelles des intérieurs arabes sont documentées pour la dernière fois dans l'exposition «Living Under the Crescent Moon».

    De nombreuses organisations dont la suissesse Trust Aga Khan pour la Culture oeuvrent pour lever le voile sur ces problèmes en tentant d'impliquer les architectes actuels dans l'affaire. Comme le démontre «Living Under the Crescent Moon» les pays arabes peuvent avoir un large répertoire de solutions à partir de leurs propres traditions. Leurs modes de vie pourront ainsi se développer positivement en tirant profit d'une mondialisation raisonnable et durable. Une chose est cependant sûre et vous aurez à la toucher dans toutes les photos dévoilées dans l'exposition, «L'hospitalité est et reste la plus grande vertu dans n'importe quelle maison arabe».



    Khadija Smiri | lematin





    © Copyright Le Matin

    http://www.africatime.com/maroc/nouvelle.asp?no_nouvelle=362112&no_categorie=4

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Nous avons vu samedi 24 au soir à l'Institut Français de Casablanca: Les petites vacances

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    Date de sortie : 24 Janvier 2007 Les films sortis à cette date...
    Réalisé par Olivier Peyon
    Avec Bernadette Lafont, Claude Brasseur, Adèle Csech Plus...
    Film français. Genre : Comédie dramatique
    Tags : relation grands-parents / enfant (4), road movie (116)
    Durée : 1h 30min. Année de production : 2006
    Distribué par Pierre Grise Distribution

    Danielle, mamie exemplaire pour qui la vie semble s'écouler sans le moindre problème, va basculer rapidement dans une crise existentielle. L'opposition de sa petite-fille Marine, pré-ado, va pousser Danielle dans ses derniers retranchements à travers un road movie alpin.

    http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61603.html

  • Catégories : Des anniversaires

    Les 80 ans du soutien-gorge

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    En 1907, on l’appelait pudiquement brassière, avant qu’il ne porte le nom de sa fonction : soutien-gorge. Depuis, objet de fantasme pour les hommes, il est symbole d’émancipation pour les femmes jusqu’à ce que, dans les années 60, elles le jettent aux orties. Dans ce bout d’étoffe, que de revendications ! Le soutien-gorge devient accessoire de mode avec Madonna, très légèrement vêtue sur scène. Grâce au révolutionnaire Wonderbra, la sublissime Adriana exhibe des attributs à faire se damner un saint ! (Selva/Leemage ; Rue des Archives/PVDE ; Rue des Archives/Collection BCA ; Rue des Archives/Agip ; Picture Alliance/DPA ; Abaca ; Imageforum)


    En 1907, on l’appelait pudiquement brassière, avant qu’il ne porte le nom de sa fonction : soutien-gorge. Depuis, objet de fantasme pour les hommes, il est symbole d’émancipation pour les femmes jusqu’à ce que, dans les années 60, elles le jettent aux orties. Dans ce bout d’étoffe, que de revendications ! Le soutien-gorge devient accessoire de mode avec Madonna, très légèrement vêtue sur scène. Grâce au révolutionnaire Wonderbra, la sublissime Adriana exhibe des attributs à faire se damner un saint ! (Selva/Leemage ; Rue des Archives/PVDE ; Rue des Archives/Collection BCA ; Rue des Archives/Agip ; Picture Alliance/DPA ; Abaca ; Imageforum)

    Source: Le figaro.fr

  • Catégories : La culture

    Je viens de lire:Figaro Hors-série : des Racines et des Ailes

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    Figaro Hors-série : des Racines et des Ailes
    Des Racines et des Ailes, 10 ans d’aventure culturelle

    L’éditorial de Michel De Jaeghere

    "Ils nous ont fait visiter Saint-Pétersbourg, Barcelone et Angkor ; Vienne, Salamanque ou Marrakh ; Syracuse et Paris. Ils nous ont ouvert les portes des réserves du musée de Dresde, les escaliers secrets de Versailles, les grottes extravagantes des châteaux de Louis II de Bavière. Nous sommes montés en leur compagnie sur les échafaudages des restaurrateurs de la galerie des Glaces ; nous avons survolé en ballon l’Anatolie. Ils nous ont présenté les héritiers des familles princières de Palerme. Ils nous ont introduits dans le secret des confréries soufies d’Istanbul. Ils nous ont emmenés suivre les fouilles des archéologu, à Saqqara, à Pétra ou à Pompéi. Avec eux nous avons recherché les traces des bouddhas géants de Bamiyan, plongé au pied du phare d’Alexandrie, volé autour du Christ du Corcovado au-dessus de la baie de Rio.
    Depuis dix ans, l’équipe des Racines et des Ailes poursuit une aventure unique à la télévision française. Depuis dix ans, sous la houlette de Patrick de Carolis, elle excelle à marier les contraires : la popularité et l’exigence, la rigueur et l’émotion, la pédagogie et le sens du spectacle. Avec un même mot d’ordre : rendre l’intelligence intelligible.
    Une telle réussite ne tient pas à une formule magique. Elle suppose un trésor de soin, de travail, de perfectionnisme de la part de ceux qui y participent. Une curiosité toujours en éveil. Une faculté d’émerveillement, d’admiration que n’érodent pas le succès, les années, l’habitude.
    Cette réussite a passé par le respect d’un certain nombre de maximes qui ont permis à l’équipe des Racines et des Ailes de bouleverser les relations de la télévision avec la culture. Des principes tout simples à énoncer, plus difficiles à tenir. Chercher à intéresser et à plaire, plus qu’à briller pour le plaisir de quelques happy few. Utiliser toujours un vocabulaire accessible. Refuser le parisianisme. Partir de ce qui est connu, au risque de faire sourire de commisération les connaisseurs revenus de tout, pour faire découvrir, soudain, l’inconnu. Donner un visage aux merveilles architecturales que l’on donne à voir, en prenant pour guides ceux qui les restaurent, les aiment ou les habitent. Se souvenir qu’un reportage n’est pas une succession de belles images, mais d’abord, une suite de rencontres inattendues. Donner la parole à des spécialistes, en leur faisant adopter le langage de l’honnête homme, la simplicité du véritable érudit. Donner sa place à la contemplation. A une beauté qui est l’une des dimensions du Vrai. Aller du patrimoine à la vie, en soulinant que l’avenir s’inscrit dans une succession, une histoire. Que nous sommes les débiteurs insolvables de ceux qui nous ont devancés.
    Ces principes ne nous sont pas inconnus. Nous nous efforçons, chaque jour, de faire en sorte qu’ils soient les nôtres".

    Extrait du sommaire

    Toute la beauté du monde
    L’esprit des lieux
    Les dessous de l’écran
    Carnet de voyage

    Source: Canal Académie

  • Catégories : Mes poèmes

    Qu'est-ce que le courage?

    Si difficile à définir, je trouve.
    Etymologiquement, il émane
    Du cœur et est force morale,
    Couramment, le courage
    C’est rester ferme face
    Au danger, à la souffrance
    Physique ou morale.
    Il est synonyme de bravoure
    De cran et de stoïcisme.
    Plus physique, il est vaillance
    Et héroïsme ; mêlée d’inconscience,
    Il est audace, intrépidité, témérité, hardiesse.
    Enfin négativement, il mène à la dureté cruelle.

    http://www.lespoetes.net/themedumoislespoemes.php?id=1940&theme=COURAGE

  • Catégories : La littérature

    Moravia revient

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    Roman. Publication en Italie et en France d’un inédit d’Alberto Moravia, «les Deux Amis». Amour, politique et lutte de classes, dans un texte écrit entre «le Conformiste» et «le Mépris».

    REMO BODEI
    QUOTIDIEN : jeudi 8 novembre 2007

    La publication de textes que leurs auteurs ont laissés délibérément inédits est souvent une déception. Ce n’est pas le cas des Deux Amis d’Alberto Moravia, qui contient des pages splendides, éparses dans les trois variantes d’un roman écrit vers 1952, entre le Conformiste (1951) et le Mépris (1954). On dirait que, pour une fois, vaut le critère herméneutique selon lequel un auteur est le dernier à se comprendre. Si le Conformiste raconte l’histoire d’un homme qui adhère au fascisme pour fuir son propre vide intérieur et achève sa parabole par la trahison et l’homicide politique, les Deux Amis prend en examen le communisme, en sa version la plus diffusée dans le second après-guerre italien.

    La trame : un journaliste cultivé mais pauvre, Sergio, se propose d’amener au Parti communiste son seul ami, Maurizio, un «bourgeois» riche et cynique qui le fascine et avec lequel il engage un duel serré, cachant un inavouable désir de revanche sociale. Sergio veut démontrer sa supériorité au représentant d’une classe qu’il considère comme étant condamnée par l’histoire à l’extinction violente. Fidèle à la trouble conviction qu’il s’est construite, selon laquelle la vie privée doit être subordonnée à la mission suprême de gagner de nouveaux adeptes à la cause, il signe le pacte méphistophélique proposé par Maurizio, dont l’enjeu n’est pas la vente de son âme, mais celle de sa femme. Sergio sacrifie alors son amour pour Lalla, en offrant celle-ci à son ami-adversaire en échange de son inscription au parti – métaphore moderne de la signature par le sang d’un contrat diabolique.

    D’en bas. Sur le point de consommer l’acte sexuel, Maurizio refuse. Il n’a jamais désiré cette femme et n’a aucune intention de devenir communiste : il n’a fait que tendre un piège à Sergio. Il l’a mis à l’épreuve, pour lui montrer comment on peut devenir le maquereau de la femme qu’on aime en croyant poursuivre l’idéal d’une révolution jugée inévitable et imminente, mais qui n’est rien d’autre qu’une égoïste bouée de sauvetage à laquelle il s’accroche pour oublier sa condition d’intellectuel insignifiant, «sans but et sans centre». En se sentant traitée comme le pion d’un jeu dont elle est exclue, la femme revendique à la fin sa propre liberté, sa dignité, et elle abandonne les deux hommes. Les amis-rivaux se trouvent ainsi démasqués et se révèlent marionnettes d’un spectacle plus grand qu’eux, porteurs de préjugés contagieux qui ignorent les besoins et l’humanité «brute» des victimes d’une guerre de religion idéologique moderne (que Moravia refuse en tant que telle, même sur le plan artistique, en revendiquant l’autonomie de l’écrivain).

    Sergio voudrait sauver et convertir les individus, Maurizio les laisser enfermés dans la sphère des jouissances et des ressentiments privés. Tous deux considèrent les personnes comme des moyens, non pas comme des fins. Et ils ont tendance à les mépriser, à les humilier, soit par pulsion obscure et «irrationnelle», soit parce qu’ils les évaluent selon les canons de leurs idéologies respectives – simples paravents de leur incapacité à agir et à influer sur les événements.

    Par rapport au roman néoréaliste, idyllique, de Vasco Pratolini, Chronique des pauvres amants (1947) – où la misère renforce l’amour entre prolétaires –, ici les différences de classes, centrées sur les difficultés de la vie matérielle de Lalla et Sergio, ont une incidence sur les idées et les attitudes des personnages, et insèrent un douloureux coin entre la réalité et les aspirations. A travers Moravia, on redécouvre aujourd’hui une dimension traditionnelle de la lutte de classe, vue d’en bas : celle entre riches et pauvres. Dans le roman, elle est cependant mêlée, de façon ambiguë, à la volonté de revanche sociale, et, surtout, à une variante perverse du primat de l’intérêt général sur l’intérêt des individus. Ce livre inachevé montre une «coupe» de l’Italie de ces années-là, où a éclaté une guerre civile dans les âmes, un conflit qui a impliqué les valeurs et les consciences d’un peuple sorti dramatiquement de vingt années de dictature et d’une guerre civile féroce.

    Le «rideau de fer» traverse aussi les consciences, les familles, les amis, les camarades de travail. Cette hostilité prend tantôt des formes cruelles, de continuation privée de la guerre bien après sa fin officielle, tantôt, et encore plus fréquemment, montre comme des crevasses, à travers lesquelles filtrent des formes de «convivance» occasionnelle, débonnaire, sinon, au quotidien, de compromis (entre catholiques engagés aux côtés de la gauche «athée» et les communistes qui se marient à l’église et font baptiser leurs enfants). Mais il ne s’agit pas seulement de manifestations superficielles de compromis : c’est que la haine politique ne réussit pas toujours à entacher les rapports personnels.

    Militance. Dans les ébauches de Moravia, il semble que la barre graphique qui sépare chez Carl Schmitt le rapport ami-ennemi caractérisant la catégorie du politique ait été effacée, et que les deux notions se confondent. Cependant, la militance – faite de générosité factieuse, de prosélytisme, de mobilisation, de lutte, de sacrifices personnels aux dépens des intérêts immédiats – devient pour beaucoup raison de vie. Et, bien que les phénomènes d’opportunisme ne manquent pas, la double et contradictoire expérience des peurs (guerre, bombardements, faim) et des espérances (renaissance, bien-être, monde meilleur) leur apprend à concevoir et pratiquer la politique en tant qu’engagement total, jalousement exclusif. La conviction est qu’un avenir meilleur s’atteint grâce au parti – lequel demande en échange discipline, obéissance et fidélité à la «ligne générale».

    Moravia lacère l’écorce des idéologies et analyse les pathologies du «tronc» de la société italienne, par le biais de ses deux personnages principaux et de la figure féminine, qui sera à la fin objet de mépris de la part de Sergio. Celui-ci est le prototype de l’intellectuel engourdi et inconcluant de la période du fascisme (digne représentant de cette espèce humaine déjà décrite dans les Indifférents), qui trouve ensuite dans le Parti communiste une solution à son inertie, et l’outil apte à lui faire surmonter le sentiment d’infériorité sociale à l’égard de Maurizio. Si Sergio est un personnage tourmenté et mesquin, qui n’a rien de la fanatique grandeur du Hoederer des Mains sales de Sartre, Maurizio est, lui, un ex-fasciste, qui voit sa propre classe, la bourgeoisie, décadente et corrompue, et se borne désormais à satisfaire les désirs de sa vie privée.

    Aux deux personnages correspondent des milieux, des choses, des vêtements qui évoquent efficacement l’atmosphère de la fin des années 40. D’un côté, des chambres meublées miséreuses, des bassines d’eau froide derrière des paravents crasseux, des chaussettes trouées et des chaussures usées (Lalla rêve d’une maison à elle, même modeste, de toilettes recouvertes de faïence, d’une baignoire avec de l’eau chaude et de posséder des vêtements décents, voire élégants), de l’autre, l’appartement de Maurizio, confortable, mais poussiéreux, vieux, abandonné et presque spectral.

    Pour Sergio, la politique domine, alors que l’amour a dépéri, réduit au seul échange charnel. Chez Maurizio prévaut une sorte de machiavélisme au rabais et, dans une des versions, la revendication vitaliste des élans irrationnels du fascisme. Ainsi, en toile de fond, se révèle le thème de la dévaluation de la vie et des affects – auquel Moravia tenait dans ces années-là. Malgré la grande qualité littéraire qu’on décèle dans maintes parties du roman, ce fut le schématisme idéologique des deux amis-ennemis qui, peut-être, ne parvint pas à satisfaire Moravia et le conduisit à abandonner le projet.


    http://www.liberation.fr/culture/livre/289924.FR.php

    Inédits, Les Deux Amis viennent à propos rappeler l'audace d'une oeuvre de bout en bout sulfureuse.

    > Lire les premières pages:http://livres.lexpress.fr/premierespages.asp/idC=13259/idR=6/idG=4
    Les Deux Amis
    Alberto Moravia
    ed. FLAMMARION

    Source: L'express livres

  • Catégories : La littérature

    Disparition:Best Mailer

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    Ecrivain, journaliste, pendant plus d'un demi-siècle, Norman Mailer a écrit le roman de l'Amérique. Souvenirs de sept rencontres avec celui qui fut le véritable héritier d'Hemingway.

    > La dernière rencontre avec Mailer

    http://www.lire.fr/portrait.asp/idC=51650/idR=201/idG=4
    > Entretien en 1995

    http://www.lire.fr/entretien.asp/idC=31525/idTC=4/idR=201/idG=

    Source: L'express livres

  • Catégories : La littérature

    Prix littéraires: l'Interallié à Christophe Ono-dit-Biot, le Renaudot des lycéens à Carole Martinez

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    L'écrivain français Christophe Ono-dit-Biot pose, le 17 juin 2004 à Paris.

    Il y a 18 heures

    PARIS (AFP) — La saison des prix littéraires s'achève avec l'attribution mardi du prix Interallié à Christophe Ono-dit-Biot pour son roman "Birmane" (Plon), tandis que le prix Renaudot des lycéens revenait à Carole Martinez pour "Le coeur cousu" (Gallimard) et le prix Quai des Orfèvres à P.J. Lambert pour son roman "Le vengeur des catacombes".

    Le prix Interallié 2007 a été attribué à "Birmane", le 4e roman de Christophe Ono-dit-Biot, qui a aussitôt appelé "à ne pas oublier la Birmanie et les Birmans" après la répression violente des manifestations d'opposition par la junte au pouvoir en septembre.

    Choisi au premier tour par six voix contre quatre à "Nada exist" de Simon Liberati (Flammarion), Christophe Ono-dit-Biot, 32 ans, est journaliste au Point et romancier. Sorti quelques jours avant les manifestations conduites par les moines à Rangoun, le livre a bénéficié de l'intérêt du public pour la Birmanie, dont l'auteur est un fin connaisseur.

    "Je suis très ému de recevoir ce prix pour ce livre, très ému également pour ce pays qui m'a donné envie de l'écrire et qui souffre toujours. De voir que le livre a été rattrapé par l'actualité me montre combien c'est important d'écrire sur le réel", a déclaré le romancier.

    "Aucun pays, aucune communauté d'hommes ou de femmes ne m'a ému à ce point-là, ce n'est pas le moment d'oublier la Birmanie et les Birmans", a ajouté l'auteur de "Désagrégé(e)" (2003) et de "Génération spontanée" (2005).

    Dans "Birmane", un reporter à la recherche d'une interview "du plus grand trafiquant de drogue de tous les temps" découvre l'emprise de la dictature.

    Le 16e prix Renaudot des lycéens a quant à lui été attribué à Loudun (Vienne) mardi à Carole Martinez pour son livre "Le coeur cousu" (Gallimard).

    Carole Martinez, professeur de français de 41 ans, est récompensée pour son premier roman. Elle l'a emporté avec 15 voix contre 12 à Christopher Donner pour "Un roi sans lendemain" (Grasset), à l'issue du sixième tour de scrutin.

    Le roman raconte l'histoire d'une mère de famille, Frasquita Carasco, dotée de pouvoirs surnaturels, condamnée à errer à travers une Andalousie troublée par des révoltes paysannes après avoir été réprouvée par son village pour adultère.

    Plus de 300 élèves de dix lycées de Poitou-Charentes et pour la première fois de trois établissements des académies de Bordeaux, Limoges et Nantes, ont eu plus d'un mois pour lire les onze livres retenus dans la sélection officielle du Renaudot. Mardi, la présidente et les 26 représentants des comités de lecture de chaque lycée se sont réunis pour délibérer à Loudun, ville où est né Théophraste Renaudot.

    Le prix du quai des Orfèvres 2008 a été attribué mardi à P.J. Lambert pour son roman "Le vengeur des catacombes".

    Ce prix littéraire, dont c'est cette année la 61e édition, récompense un manuscrit inédit de roman policier présenté par un écrivain de langue française.

    L'intrigue de ce roman se noue dans une carrière située sous l'hôpital Broussais où sont découverts deux corps mutilés.

    L'intrigue illustre des liens de respect et de connivence tissés entre policiers et journalistes.

    Le prix du quai des Orfèvres est choisi de manière anonyme par un jury présidé par le directeur de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris, Christian Flaesch, et composé d'une vingtaine de membres (policiers, magistrats, journalistes). Pour la désignation du lauréat, outre la qualité littéraire, sont pris en compte l'exactitude matérielle des détails et le degré de réalisme avec lequel est décrit le fonctionnement de la police et de la justice.

    Voici la liste des lauréats des principaux prix littéraires de l'automne 2007

    Prix Goncourt : Gilles Leroy pour "Alabama Song" (Mercure de France)

    Renaudot : Daniel Pennac pour "Chagrin d'école" (Gallimard)

    Femina : Eric Fottorino pour "Baisers de cinéma" (Gallimard)

    Femina étranger : Edward Saint Aubyn pour "Le goût de la mère" (Christian Bourgois)

    Médicis : Jean Hatzfeld pour "La stratégie des antilopes" (Le Seuil)

    Médicis étranger : Daniel Mendelsohn pour "Les Disparus" (Flammarion)

    Grand prix du roman de l'Académie française : Vassilis Alexakis pour "Ap. J.-C." (Stock).

    Interallié : Christophe Ono-dit-Biot pour "Birmane" (Plon)

    Décembre : Yannick Haenel pour "Cercle" (Gallimard)

    Goncourt des lycéens : Philippe Claudel pour "Le rapport de Brodeck" (Stock)

    http://afp.google.com/article/ALeqM5jRtihJ86r8JFvAz5VYmPvWkIVT3Q

  • Catégories : Paysages amoureux et érotiques

    Un peu de pub pour mon dernier livre

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    Chez Monette:http://chezmonette.hautetfort.com/archive/2007/11/26/livre-de-laura.html

    C'est également un joli recueil de poésie révélant le talent et la sensibilité de Laura, sa sensibilité, sa sensualité.
    Un livre émouvant et émoustillant.
    je l'ai lu en une soirée, je vous le conseille!!!

    Extrait d'un poeme que j'aime particulierement:

    je voudrais

    je voudrais etre sculptrice
    et t'eriger une statue
    qui te rendrait justice

    je voudrais etre peintre
    et te faire ton portrait

    En vente ici:http://www.thebookedition.com/paysages-amoureux-et-erotiques-laura-vanel-coytte-p-143.html

  • Catégories : Les livres d'amis blogueurs

    Le nouveau livre d'Irène

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    IRENE: Ainsi que je vous l'avais promis, ce week-end, le deuxième volet de la saga d'Agathe serait en ligne, voila qui est fait.
    son titre AGATHE ET LE PUITS DU TEMPS.

    Agathe dans cette aventure achète la maison de ses rêves qui ne tarde pas à se métamorphoser en cauchemar.
    Mais son aventure fantastique va se tranformer en une fantastique histoire d'amour et sa générosité sera la clé du mystère.

    Le livre, en cours de validation, sera disponible sur le site dans quelques heures, mais vous pouvez le découvrir dès maintenant.

    Un nouveau projet est en cours avant que le troisième volet voit le jour, avant les fêtes, j'ai l'intention de penser à vos enfants et petits-enfants en publiant un recueil de contes.

    Je vous remercie tous pour votre soutien.

    En vente ici:http://www.thebookedition.com/irene-pauletich-agathe-et-le-puits-du-temps-p-516.html

  • Catégories : Les livres d'amis blogueurs

    "Matin de chien"

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    Matin De Chien de Rose d'Ambroise et Bernadette Revoux, recueil de nouvelles et de formes est enfin disponible à la commande sur lulu.com. Publié sous le label de l'association Ecriture Artistique, ce recueil se pose comme un regard sur des morceaux de vies, des bribes du quotidien, imaginaires, réels. Mettre un pied devant l'autre et aller en avant, toujours.

    Commander ici:http://www.lulu.com/content/1413091

    Le blog d'Ambroise:http://ambroise.hautetfort.com/

  • Catégories : L'actualité

    L'Eurostar prend ses quartiers dans son nouveau terminal londonien de St-Pancras

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    AFP - il y a 2 heures 34 minutesLONDRES (AFP) - Après avoir fait mardi ses adieux à la gare de Waterloo, l'Eurostar devait lancer mercredi matin son service à grande vitesse depuis son nouveau terminal londonien de St-Pancras, malgré une grève des cheminots français qui ne devrait pas affecter le trafic Paris-Londres.

    (publicité)
    Le public sera admis à 08H00 GMT tapantes mercredi (09H00 heure de Paris) dans l'ancienne gare victorienne de St-Pancras, située dans le nord de la capitale britannique, qui a été entièrement rénovée et transformée en station ultra-moderne.

    Le train roulera alors à 300 km/h sur la totalité de ses parcours entre Paris, Bruxelles et Londres, puisqu'il empruntera désormais le tronçon à grande vitesse récemment achevé entre Ebbsfleet, au sud-est de Londres, et St Pancras.

    L'achèvement de cette ligne à grande vitesse a nécessité 18 kilomètres de tunnels et coûté, avec la rénovation de St-Pancras, quelque 5,8 milliards de livres (8,4 milliards d'euros).

    Ce nouveau trajet fera gagner vingt minutes sur les temps de parcours, et l'Eurostar reliera à partir de ce mercredi Londres et Paris en 02H15 et Londres et Bruxelles en 01H51.

    La compagnie ferroviaire a assuré mardi que ses services "ne seront pas perturbés" par le mouvement de grève dans les transports publics en France, mais a prévenu que les passagers devant emprunter des correspondances côté français "doivent s'attendre à des retards de celles-ci".

    Eurostar a toutefois du annuler les festivités prévues en gare du Nord mercredi pour le départ et de l'arrivée des premiers trains de St-Pancras. Celles prévues à Londres sont quant à elles maintenues.

    http://fr.news.yahoo.com/afp/20071114/tts-gb-belgique-france-transport-c1b2fc3_1.html

  • Catégories : L'art

    Vol d'un croquis de Picasso estimé à 650.000 dollars

    Le 11/11/2007 à 22h04 GMT
    MEXICO (Reuters) - Un croquis de Pablo Picasso estimé à 650.000 dollars a été volé dans une maison de la périphérie de Mexico, rapportent dimanche des médias locaux.
    Un voleur est entré dans l'habitation, située dans un quartier huppé, et en est reparti après avoir placé dans une valise le croquis, dont aucune description n'a été donnée.
    Selon l'agence officielle Notimex, le voleur a aussi fait main basse sur 90.000 dollars en liquide et sur des montres de luxe

    http://www.rmc.fr/edito/info/12875/vol-dun-croquis-de-picasso-estime-a-650-000-dollars/

  • Catégories : Mes textes en prose

    Loin des yeux, loin du cœur ?

    Un jour, Cannelle a quitté sa maison pour habiter à trois kilomètres avec Daniel.
    En deux ans, sa famille à elle est venue la voir trois fois. Un jour, Cannelle a quitté sa région ; Daniel changeait de travail. Ils se rapprochèrent géographiquement et sentimentalement de sa famille à lui. En trois ans, sa famille à elle vint une fois. Ils changèrent de maison et encore deux fois de région ; trois autres maisons aussi. Ils habitèrent à l’autre bout de la France par rapport à leurs familles respectives puis se rapprochèrent à mi-chemin. En cinq ans, celle de Cannelle vint cinq fois dont une fois presque contrainte et forcée pour leur mariage. Les proches de Daniel vinrent souvent et avec plaisir. Un jour, Cannelle et Daniel quittèrent leur pays, toujours pour le travail. Ses parents, bien qu’âgés vinrent les voir dés qu’ils furent installés. Ils appelèrent aussi régulièrement. Ils sentirent donc quand leurs enfants furent en difficulté et les aidèrent du mieux qu’ils purent. Du côté de Cannelle, ils furent étonnés et firent le minimum pour eux. Peu importe la distance, les gens qui vous aiment, ne vous oublient pas ; les autres vous oublient un peu plus…


    Thème du concours de novembre chez Laurélyne : La morale de l'histoire ....

    Vous devez écrire une histoire ayant comme conclusion une morale
    ( Votre texte ne doit pas depasser les 15 lignes ).
    Envoyez moi votre participation à l’adresse mail suivante : Laurin928@hotmail.com , avant le 22 novembre .
    Les internautes voteront le 23 novembre et le nom du gagnant sera affiché le 25 novembre.
    Le gagnant remportera un lien de son blog, jusqu’au prochain concours (Decembre).

    http://maporteouverte.over-blog.com/article-13722290-6.html#comment22428570

  • Catégories : Paysages amoureux et érotiques

    Un peu de pub pour mon dernier livre

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    LAURA

    PAYSAGE AMOUREUX ET EROTIQUES

    C'est également un joli recueil de poésie révélant le talent et la sensibilité de Laura, sa sensibilité, sa sensualité.
    Un livre émouvant et émoustillant.

    Extrait d'un poème que j'ai beaucoup aimé

    DEUX NAUFRAGES

    Naufragée
    Elle s'accroche à son mât

    Naufragé
    Il s'accroche à son corps

    Exilés
    Ils sont un pays....

    Ce joli recueil est ici:

    http://www.thebookedition.com/paysages-amoureux-et-erotiques-laura-vanel-coytte-p-143.html

    Merci à Irène(http://mamirene.over-blog.com/) de l'équipe de choc(http://lequipedechoc.over-blog.com/article-14052762-6.html#anchorComment) qui a publié cet article et 2 livres sur The book edition :http://www.thebookedition.com/agathe-sauve-marie-clotilde-irene-pauletich-p-268.htmlhttp://www.thebookedition.com/agathe-et-le-puits-du-temps-irene-pauletich-p-516.html

  • Catégories : Livre

    J'ai lu: "In tenebris" de Maxime Chattam (Pocket)

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    New York, hiver 2002 : on a retrouvé une femme atrocement scalpée. Détective de Brooklyn, Annabel O'Donnel enquête : la victime a été droguée à l'Ativan, un somnifère et obtient l'adresse de Lynch, un grand acheteur d'Ativan qu'elle surprend chez lui à réaliser des perruques avec des scalps humains ! Lynch abattu, Annabel découvre, des cadavres putréfiés et les photos de personnes disparues. Tandis que sur le mur, des lettres de sang glorifient Caliban, Annabel retrouve un texte énigmatique et reçoit l'aide de Joshua Brolin, un profileur : selon lui, Lynch n'agissait pas seul...

    Quel succès !
    La trilogie du mal de Maxime Chattam (' L' âme du mal', 'In Tenebris' et 'Maléfices') s'est écoulée à 400.000 exemplaires

    Les extraits de "In Tenebris"
    La première phrase
    Harvey Morris ouvrit la tablette située devant lui et y a posé sa montre à quartz.



    La dernière phrase
    Puis la nuit couvrit entièrement le paysage.



    Morceau choisi
    Il y a dans Brooklyn Heights une promenade qui surplombe Manhattan, une bande sombre de béton au-dessus de la baie où les couples et les personnes âgées aiment à venir. Les maisons qui jalonnent cette allée sont hautes et étroites, avec des façades travaillées de reliefs et auréolées de nombreuses fenêtres dans la nuit. Sur le toit d'une d'entre elles brille une lueur étrange.


    http://www.evene.fr/livres/livre/maxime-chattam-in-tenebris-17167.php

  • Catégories : Mes textes en prose

    La tempête

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    Après avoir passé les fêtes dans leur famille, Cannelle et Daniel découvraient en redescendant vers le sud où ils habitaient le spectacle d’apocalypse des forêts dévastées par la tempête. Ils étaient à un tiers de leur route lorsque Cannelle appela sa grand-mère pour lui dire le bonheur qu’elle avait eu à la voir. La tempête avait sévi aussi chez la presque nonagénaire et elle n’avait plus de chauffage électrique depuis plusieurs jours ; elle n’avait que 15 degrés dans sa maison. Les services concernés étaient débordés par l’ampleur des réparations à effectuer. La famille, à cinquante kilomètres de chez elle, n’avait pas réagi. Alors quand Cannelle expliqua à Daniel ce qui se passait, il fit demi-tour pour faire les quelques centaines de kilomètres qui les séparaient de la grand-mère de Cannelle. Daniel était comme ça ! et c’était une des raisons qui faisait que Cannelle l’aimait. Beaucoup en profitaient mais….
    Quand ils arrivèrent chez l’octogénaire, elle était pelotonnée dans plusieurs couches de vêtements mais toujours frigorifiée. Elle avait sorti un poêle à pétrole mais ne savait pas comment le faire fonctionner. Daniel, regarda, l’alluma et lui expliqua. Ils attendirent avec elle que la température dans la maison remonte à un niveau acceptable puis repartirent vers le sud.

    Le 22/11/2007

    http://imaginal.over-blog.fr/pages/proposition_dexercice_pour_ecriture_ludique-64497.html

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    Proposition d'exercice de Françoise:Beaucoup disent que la forêt derrière chez moi n'est pas belle, qu'elle est mal entretenue, car les pins abattus par la tempête du passage au troisième millénaires n'ont jamais été redressés.

    Moi, je l'aime.
    En m'y promenant, j'y rencontre des choses étonnantes.
    Voici quelques photos végétales.
    Puissiez-vous y trouver l'inspiration !

    Comme d'habitude, Il est possible de s'inspirer de l'une ou l'autre des images, de plusieurs ou de toutes, librement.
    Cet exercice n'a pas été retenu pour Ecriture Ludique.

    http://imaginal.over-blog.fr/pages/proposition_dexercice_pour_ecriture_ludique-64497.html

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    Je me suis inspiré de ces 3 photos pour mon texte.... la 4 e demain avec un poème...

  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    Casablanca memories

    L’ethnologue Marc Augé, lui, ne s’ennuie jamais quand il va dans les salles d’art et d’essai : « L’idée me traverse parfois, depuis quelque temps, qu’il n’y a peut-être pas plus grand bonheur que de s’asseoir en fin de journée dans un cinéma du quartier Latin pour y revoir un film américain ». Dans Casablanca, il tisse ses souvenirs de ce film, vu pour la première fois après guerre. L’exotisme stéréotypé des rues de Casablanca, la « beauté troublante » d’Ingrid Bergman, l’atmosphère des rues de la capitale à la sortie du film… Un livre qui se lit comme on écoute, sans se lasser, le fameux thème musical du chef d’œuvre de Michael Curtiz : As time Goes by… ◆ G.H. Marc Augé, Casablanca, Le Seuil, 114 p., 12 €.

    Source: Télérama.fr

  • Catégories : Web

    Le lecteur e-book d'Amazon

    Aujourd'hui, Amazon devrait dévoiler son lecteur e-book, Kindle. Grâce au Wifi, ses détenteurs pourront acheter directement des ouvrages sur l'Amazon e-book store. Il est aussi capable de lire les audiobooks ou de télécharger des version numériques d'une cinquantaine de journaux.

    Source: Télérama.fr

  • Catégories : Le patrimoine

    Près de 400 000 ouvrages en libre accès sur le site de la BNF en 2010

    La Bibliothèque nationale de France numérisera 300 000 ouvrages, ils compléteront les 90 000 références déjà disponibles sur le site Gallica.

    Philippe Crouzillacq , 01net., le 13/11/2007 à 19h10


    Après avoir dématérialiser quelque 90 000 documents en une petite décennie, la BNF (Bibliothèque nationale de France) franchit aujourd'hui une nouvelle étape dans le vaste chantier de la numérisation de ses collections. Dans les trois ans à venir, ce sont en effet près de 300 000 ouvrages qui viendront s'ajouter aux références déjà existantes (ouvrages, fascicules de presse...).

    L'ensemble sera consultable gratuitement par tous les internautes sur Gallica 2, la dernière évolution du site Internet de l'établissement public. « Cette démarche va permettre à la BNF d'acquérir un savoir-faire technologique extrêmement précieux », précise son président, Bruno Racine. Les premiers éléments de Gallica 2 seront disponibles dès janvier 2008.

    Le projet, dont la mise en ligne se prolongera (avec l'ajout de cartes, de plans et de documents sonores) jusqu'à la fin de l'année 2008, intégrera des fonctionnalités dites de Web 2.0. Les utilisateurs pouvant, par exemple, se créer un espace personnel où ils stockeront leurs documents et apposeront des marque-pages, des étiquettes... Autre nouveauté majeure : la consultation des ouvrages en mode texte et non plus forcément en mode image, comme c'est le cas aujourd'hui.

    26 millions d'euros sur trois ans

    Pour assurer le stockage, la BNF a conçu Spar (Système de préservation et d'archivage réparti), « un entrepôt numérique intelligent ». Bien plus qu'un simple entrepôt de données sécurisé, Spar effectue de multiples copies des objets numériques en garantissant dans le temps la conservation et la continuité d'accès aux documents. Ainsi, indique la BNF, « lorsque le format Jpeg deviendra obsolète, Spar sera en mesure de transformer les images concernées dans un nouveau format plus performant ». 26 millions d'euros seront débloqués sur trois ans pour mener à bien ces chantiers de stockage et de numérisation des oeuvres.

    Par ailleurs, l'établissement public présentera au prochain Salon du livre, un prototype de portail unique d'accès à l'édition française. Une porte d'entrée, fruit d'un partenariat avec les différents acteurs du secteur, qui permettra non seulement de consulter en texte intégral des dizaines de milliers d'oeuvres libres de droit, mais aussi de consulter partiellement des livres sous droit.

    « Grâce à cette une initiative, nous allons pouvoir redonner vie à des textes parfois récents mais déjà épuisés », explique Bruno Racine. L'acquisition des livres sous droit sera possible au prix fixé par les éditeurs. La BNF orientera le lecteur vers le distributeur physique ou virtuel auprès duquel il pourra dénicher le précieux ouvrage.

    http://www.01net.com/editorial/364634/pres-de-400-000-ouvrages-en-libre-acces-sur-le-site-de-la-bnf-en-2010/