Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
La mort de Pierre Granier-Deferre
Le réalisateur de «La Veuve Couderc» du «Chat», ou encore de «Adieu Poulet» s’est éteint vendredi, à l’âge de 80 ans.
Source: Le Figaro.fr
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Le réalisateur de «La Veuve Couderc» du «Chat», ou encore de «Adieu Poulet» s’est éteint vendredi, à l’âge de 80 ans.
Source: Le Figaro.fr
Le site «Martine Cover Generator», qui permettait de parodier des couvertures de la série pour enfants, a fermé boutique dimanche.
Source: Le Figaro.fr
Lyon vu de la Saône... - P. Mathieu
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Laurent RIBADEAU DUMAS Publié le 05/11 à 11:12 |
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Peintre et esthète
Amateur d’art et de femmes
Scientifique et littéraire
Européen et asiatique
Il lui apprit vite
A devenir elle-même
A aimer son corps et son sexe
Donner et recevoir des caresses
Avec lui, elle essaya les femmes
Mais préféra les hommes
Qui la trouvaient belles
Elles les troublaient par son assurance
Et les piégeaient par sa faiblesse
Ou était-ce l’inverse ?
Amatrice d’art et d’hommes
L’élève dépassa le maître.
LEXPRESS.fr du 13/11/2007
Sylvie Testud
Les choix de Sylvie
Propos recueillis par Géraldine Catalano
Elle ne ressemble à personne et c'est tant mieux. Cinéma, théâtre, télévision et littérature, Sylvie Testud est partout. Confidences d'une passionnée qui ne conçoit sa vie et son métier qu'à toute allure.
Même moi, je m'embrouille», avoue-t-elle en faisant le récapitulatif de son actualité automnale: dans l'ordre La France, de Serge Bozon (sortie le 21 novembre), Ce que mes yeux ont vu, de Laurent de Bartillat (28 novembre), Biographie sans Antoinette, qu'elle interprète en ce moment sur les planches de la Madeleine. Il y a aussi l'écriture du scénario de Gamines, son troisième livre, la préparation du quatrième. Et bien sûr ce Sagan de Diane Kurys, qui fera l'événement l'an prochain sur France 2. Bref, il faudra bien plus d'une Marlboro light pour parler du métier, de la vie, mais aussi d'autres sujets d'importance. Comme ces bottes rouge vermillon qui redonnent des couleurs à une autrement bien grise après-midi de novembre.
Combien de paires de chaussures dans votre garde-robe?
Oh! la la!... Une centaine environ. Je suis une dingue de chaussures. J'en ai des dorées, des argentées, des rouges, des bleu électrique...
Vous vous définissez comme une angoissée. Mais il ne faut pas être peureuse pour affronter Jean-Pierre Marielle au cinéma, Thierry Lhermitte au théâtre, et ressusciter Sagan à la télévision, tout cela en quelques mois...
Je dis souvent, pour rigoler, que je suis la plus courageuse des flippées. Dompter mes peurs, c'est ce qui me fait avancer. Je sais que Sagan, par exemple, est mon plus gros risque de ratage. Je stresse à mort. De toute façon, je stresse dès le premier jour d'un tournage. C'est comme pour un premier rendez-vous, on ne sait jamais si la magie va opérer ou pas. Au théâtre, c'est plus pesant encore: l'édifice est très fragile. On dépend tous les uns des autres.
Et dans la vie, vous gérez comment?
Comme je peux... Cette nuit, par exemple, je vais dormir seule, parce que mon copain et mon fils sont partis en vacances. Je sais que ça va être pénible...
Dans Ce que mes yeux ont vu, Jean-Pierre Marielle, votre partenaire, prétend qu'il ne faut jamais, dans le travail, se laisser déborder par ses sentiments. C'est valable aussi pour le métier d'acteur?
La plupart des acteurs répondront oui. Moi, je me laisse toujours dépasser par mes sentiments, dans mon métier comme dans la vie. Parfois, je me brûle un peu... Ce n'est pas un hasard si j'ai attrapé une pneumonie juste après le Sagan: j'en suis sortie lessivée. Je me souviens aussi des Blessures assassines. J'étais dure, renfermée sur moi-même. A la fin, je n'avais qu'une envie: me maquiller, rire avec mes copines. En fait, c'est une question de volonté. Chez moi, il arrive toujours un moment où la vie reprend le dessus. Où je me dis: «ça suffit!»
Pour lire la suite et voir des vidéos:http://www.lexpress.fr/mag/cinema/dossier/entretiencine/dossier.asp?ida=461488&xtor=RSS-96
Le Châtelet affiche pendant six semaines une nouvelle version de la célèbre comédie musicale de Leonard Bernstein et Jerome Robbins.
Source: Le figaro.fr
Allez voir l'article sur le blog de mon mari:
http://didiercoytte.votrecv.com/article-195811-6.html#anchorComment
Raconte l’aventure
D’une femme sans terre
Et d’un petit bout d’homme
Fabriquant des chemises
Et dévoreur de feuilles
D’eucalyptus. L’autre
Opérette se termine
Sur un air célèbre :
Boum
Quand notre cœur fait Boum
Tout avec lui dit Boum
Et c'est l'amour qui s'éveille.
Boum
« Boum »
Paroles et Musique: Charles Trenet 1938
http://www.paroles.net/chansons/11790.htm
Le 16/11/2007
AUTRE- OPERETTE- FABRIQUANT- AVENTURE- TERRE- PETIT- BOUM- EUCALYPTUS- DEVOREUR- BOUT
10 mots à intégrer dans un texte de ta composition. Je me charge du reste.
A TOI
http://ambroise.hautetfort.com/archive/2007/11/16/petit-jeu-entre-nous.html#comments
cf. mon blog CV:http://lauravanelcoytte.votrecv.com/categorie-48840.html
et http://lauravanelcoytte.votrecv.com/categorie-45672.html
Philippe Beaussant, le 2 novembre 2001 à Brive
Il y a 16 heures
PARIS (AFP) — L'écrivain et historien de la musique Philippe Beaussant a été élu jeudi à l'Académie française, au second tour de scrutin, au fauteuil de Jean-François Deniau, a indiqué l'institution.
Spécialiste du XVIIe siècle français, Philippe Beaussant, 77 ans, est l'auteur de plusieurs romans et de nombreux ouvrages consacrés à la musique. Il a créé en 1977 l'Institut de musique et danse anciennes, devenu depuis le Centre de musique baroque de Versailles.
Philippe Beaussant, dont c'était la première candidature, l'a emporté avec 15 voix sur 24 votants. Il avait obtenu 10 voix sur 23 votants au premier tour, contre trois à l'écrivain Stéphane Denis et deux au professeur de médecine Dominique-Gilbert Poitout.
Né en 1930 à Caudéran (Gironde), Philippe Beaussant enseigne la littérature à partir des années 1950 en France et en Australie, où il crée un ensemble instrumental et vocal qui se consacre à la musique française baroque.
Son premier essai, "Le jeu de la pierre et de la foi" parait en 1963. Il voyage alors dans le sud-est asiatique et publie en 1971 "Musique et danse du Cambodge". Producteur à Radio France/France Musiques à partir de 1974, il anime de nombreuses émissions musicales et crée en 1995 le Centre des arts de la scène des XVII et XVIIIe siècles, qu'il dirige jusqu'en 1998.
Romancier et essayiste, Philippe Beaussant a consacré plusieurs livres à Lully, François Couperin et Monteverdi, notamment "Lully ou le musicien du soleil" (1992). Son dernier ouvrage, "Passages" (Fayard), est paru en 2006. "Ce que j'aime le plus, c'est le mélange des genres", a-t-il déclaré après son élection, soulignant la relation entre musique, peinture et poésie.
Philippe Beaussant a reçu le Grand prix du roman de l'Académie française pour "Héloise" en 1993, le Prix de la langue française en 2001 pour l'ensemble de son oeuvre et le Prix littéraire Prince Pierre de Monaco en 2004.
Six fauteuils restent vacants à l'Académie française, après les décès au cours des derniers mois des écrivains Bertrand Poirot-Delpech, Henri Troyat et Pierre Moinot, du politologue René Rémond, du cardinal Jean-Marie Lustiger et de l'ancien Premier ministre Pierre Messmer.
Les scrutins devraient donc s'enchaîner dans les prochains mois pour reconstituer les rangs. Mais l'Académie a procédé le 18 octobre à une "élection blanche" - aucun candidat n'ayant obtenu une majorité pour être élu -, les académiciens refusant d'agir dans la précipitation.
Une double élection doit avoir lieu le 17 janvier 2008. Les candidatures des romanciers Gonzague Saint-Bris et Dominique Bona ont déjà été enregistrées, respectivement aux fauteuils de Bertrand Poirot-Delpech et d'Henri Troyat.
http://afp.google.com/article/ALeqM5j-HdcgysoSz0urr68CtS6FehRtSw
Difficile pour Natacha d’oublier les propos tenus par Anatole à l’opéra et le sentiment ressenti en sa présence. Elle n’imagine pas être le fruit d’une vengeance orchestrée par Hélène et Anatole.
Troublée par la tentative de suicide d’Anatole et déçue par le comportement d’André, qui n’est pas revenu une seule fois en un an, Natacha accepte de s’enfuir avec Anatole.
Un geste qu’elle va très vite regretter, mais le mal est fait.
Sur le front, l’armée russe s’apprête à subir les assauts français. Une bataille à laquelle André, Pierre, Anatole, Nicolas et Denisov vont prendre part.
http://programmes.france2.fr/guerre-et-paix/
Taylor Hackford, nominé aux Oscars 2004 pour "Ray", réalisera un remake de "La Femme d'à côté" de François Truffaut, sur un scénario de Neil LaBute.
La mère de la célèbre héroïne de littérature enfantine, Fifi Bridancier, la suédoise Astrid Linggren, aurait eu 100 ans aujourd'hui. Avec ses deux couettes, la gamine extravagante sans famille n'a pas pris une ride.
Source: Télérama
INDIFFERENCE
"Je n'ai pas mis les bonnes chaussures ce matin."
Ca me rappelle vaguement un souvenir enfantin ;
J’étais parti à l’école avec mes chaussons montants
Et on s’était moqué de moi avec une cruauté d’enfant.
Ce matin, personne ne pourra se moquer de moi
Car personne ne me connaît, personne ne me voit.
Je pourrais rentrer dans l’eau tout doucement
Et me débattre, appeler à l’aide au dernier moment
Que personne ne bougerait le petit doigt
Croyant que je fais encore du cinéma
Ils me regarderont sombrer en se disant
Qu’ils ont affaire à un dément.
Je n'ai pas mis les bonnes chaussures ce matin."
Ca me rappelle vaguement un souvenir enfantin.
Le 15/11/2007
http://coumarine2.canalblog.com/archives/2007/11/16/6899123.html#comments
48 textes dans lesquels Tante Babette a pris son inspiration...
bravo à tous pour vos participations!
Voici déjà la nouvelle consigne
La photo est de Largo (il n'a pas de blog...)
L'incipit sera le suivant:
"Je n'ai pas mis les bonnes chaussures ce matin"
Bonne créativité à chacun, amusez-vous, amusez-nous...
Les textes sont à envoyer à Sammy pour cette quinzaine: sammyfisherjr@gmail.com
NB Je rappelle que ce blog est tout public, qu'il n'est donc pas référencé dans la catégorie "adultes"
Coumarine
http://coumarine2.canalblog.com/
cf. mon site:http://www.e-monsite.com/lauravanelcoytte/rubrique-1055622.html
Depuis quelques temps, Cannelle avait eu l’impression de vivre un cauchemar. Pourtant, en regardant, « Le rêve » du Douanier Rousseau, il lui revenait à l’esprit des moments où sa vie d’exilée ressemblait au rêve d’exotisme des français qui la prenaient pour une touriste.
Ce sont ces instants où elle lève les yeux vers le ciel et où les têtes vertes des palmiers ou les couleurs éclatantes des bougainvillées se découpent sur un pur bleu azur.
Des jardins aussi comme celui des Oudayas à Rabat où elle avait admiré avec des amis les fleurs des daturas, ces petites clochettes blanchâtres qui peuvent donner la mort.
Encore à Rabat, le jardin du Chellah où la végétation, les petits ruisseaux et des fleurs de toutes les couleurs se disputent notre regard émerveillé avec des ruines pourtant si peu mises en valeur. Certains disent que c’est le lieu le plus magique du Maroc. Elle n’est pas loin de le penser aussi. A chaque fois qu’elle y est allée, le craquettement des nuées de cigognes et la vue même de ses oiseaux que l’on voit de si près qu’on croit pouvoir les toucher. Leurs nids perchés si hauts avec les petits qui attendent leur repas, leur envergure quand ils s’envolent.
Tout cela ajoute au mystère de ce lieu.
Enfin, à Marrakech, le jardin Majorelle, conçu par le peintre du même nom. Quand elle l’a visité, le temps était gris pourtant elle a été happée par tout ce vert, les fleurs encore aux multiples couleurs et le fameux bleu Majorelle de ce qui est maintenant un musée.
A ces moments là où le vert, le bleu et les couleurs chatoyantes des fleurs, elle rêve qu’elle pourrait encore être heureuse dans ce pays, loin de son cauchemar actuel qui ressemble lui au paysage qu’elle a aperçu en arrivant pour la première fois de l’aéroport : une végétation jaunie par la sécheresse.
LA CONSIGNE DE JULIETTE/PAPIER LIBRE
Pour cette nouvelle consigne, je reviens à mes premières amours : La Perinture, et tout particulièrement celle du Douanier Rousseau.
Voici un tableau de lui, particulièrement enchanteur. Vous savez sans doute qu'il a recréé SA forêt vierge, et beaucoup de ses oeuvres l'ont pour cadre.
Celui-ci s'appelle "Le rêve."
Écrivez en vers ou en prose, un texte dont ce tableau est le point de départ : un rêve, une rencontre, un fantasme....et envoyez le à jb3essarts@orange.fr
avant le 21 Octobre
en n'oubliant jamais de préciser l'adresse de votre blog et la Communauté (parmi celles de Papier Libre) dont vous faites partie
Je vous recommande vivement, si vous êtes en V2 de vous inscrire à notre Communauté PAPIER LIBRE. Merci
Juliette
http://papierlibre.over-blog.net/article-12973150.html
Parution du deuxième numéro de Zon'Art
Casablanca - Le deuxième numéro de Zon'Art, le nouveau magazine de l'art contemporain et du patrimoine visuel, vient de paraître avec au menu de beaux articles, consistants, agréables à lire et richement illustrés.
Ce numéro de Zon'Art offre au lecteur une visite dans l'atelier de Saad Hassani qui évoque son expérience avec les ateliers et livre sans détours ses émotions de créateur.
Sur le registre de la critique d'art, le chercheur et critique libanais Charbel Dagher analyse la situation de l'art contemporain dans le monde arabe en rapport avec les pressions des marchés de l'art et les contraintes de la mondialisation.
Dans "l'Art actuel", l'artiste française Edith Taioni Clos a préparé pour Zon'Art dans un style clair et une démarche pédagogique, une étude sur "L'art contemporain : Est-il mis a mal par le concept ?''. Une deuxième partie de cette étude sera publiée dans le numéro prochain. Zon'Art poursuit dans la rubrique "Artiste à suivre" ses explorations et ouvre ses pages au jeune talentueux artiste-peintre M'Barek Bouchichi.
Les galeristes ne sont pas en reste puisque Leila Faraoui, Directrice de la galerie Nadar, raconte son parcours et son combat pour contribuer à une éducation du goût et au développement du sens culturel auprès d'un public encore hésitant.
Zon'Art a choisi des critiques d'art et écrivains de renom pour faire découvrir au lecteur "l'art et ses lieux : Les événements du moment qui marquent la scène de l'art contemporain au Maroc". Moulim El Aaroussi y revient sur l'exposition qui a accueilli les oeuvres de Picasso à Tanger.
Le grand poète Adonis et Asaad Aarabi, critique d'art syrien, lève le voile sur le peintre célèbre Adam Sabhan qui vient d'être célébré à Paris dans quatre galeries en même temps.
Talal Moualla nous dévoile les succès que rencontre l'artiste marocain Ghazali au Pays du Golfe tandis que Abderrahmane Tenkoul s'interroge sur les derniers travaux du photographe Khalid Achaari.
Une belle fenêtre est ouverte sur le patrimoine visuel pour laisser défiler de belles pages sur Ikhwan Assafa ou le grand mystique Ibnou Arabi ou tout simplement sur la féerie des couleurs et la magie des compositions du tapis marocain dont Ali Amahan est l'auteur du texte.
Fidèle à sa vocation multi-linguiste, le magazine Zon'Art traite ses articles et thèmes tantôt en Anglais, tantôt en Français ou encore en Espagnol et en Arabe, à l'humeur du rédacteur et à la mesure de la sensibilité du sujet à débattre.
Avec cette nouvelle sortie, Zon'Art confirme son positionnement de militant en faveur de la cause culturelle et artistique et revient avec encore plus de verve pour défendre la belle peinture et promouvoir l'art actuel.
MAP
Lundi 29 Octobre 2007
http://www.limage.info/Parution-du-deuxieme-numero-de-Zon-Art_a1360.html
L'équipe de choc recherche des plumes courageuses pour participer à l'écriture d'un poème collectif :
Irène, ABC, Laura, Juliette (orchi-mauve), Lilounette, Morganlafey, Camomille, Captainlili, Rachida, Petite chouette, Polly et moi sommes inscrites...nous attendons votre inscription, ici :
http://lequipedechoc.over-blog.com/
Source: blog d'Enriqueta:http://c-estenecrivantqu-ondevient.hautetfort.com/archive/2007/11/13/le-jeu-d-irene.html
RÉSUMÉ
Eva a miraculeusement échappé à la rafle de 1943 au cours de laquelle toute sa famille a été déportée vers Auschwitz. En 1959, âgée de 55 ans et mariée à Nathan, elle a reconstruit sa vie, et enseigne le français dans une classe de seconde. Un jour, elle rencontre le père de Sylvie, une de ses élèves, et reconnaît en lui Meunier, ancien milicien responsable de la rafle au cours de laquelle elle a perdu sa fille et sa petite-fille de 3 mois. Petit à petit, elle acquiert la certitude que Sylvie n'est autre que sa petite-fille Sarah. Eva ne sait comment réagir. Peut-elle laisser sa petite-fille auprès d'un homme qui a envoyé ses vrais parents à la mort ? Peut-elle bouleverser la vie de Sylvie en lui révélant la vérité ?... .
.CRITIQUE TÉLÉRAMA
Téléfilm de Denis Malleval (France, 2007). Scénario : Anne Valton et Luc Chaumar. 90 mn. Inédit. Avec Marthe Keller : Eva. Juliette Lamboley : Sylvie. Jacques Spiesser : Meunier. Jacques Frantz : Nathan. Olivia Brunaux : Solange. En mai 1944, Eva a perdu son mari, sa fille, son gendre et sa petite-fille Sarah, arrachés à leur cachette par la milice bordelaise et déportés à Auschwitz. Quinze ans plus tard, la survivante a refait sa vie avec Nathan, un luthier rescapé des camps nazis.
http://television.telerama.fr/tele/emission.php?id=7249646
Biedermeier, style radical du premier quart du XIXe siècle, est le thème d’une exposition au Louvre du 18 octobre au 14 janvier : "Biedermeier, de l’artisanat au design". Des pièces exceptionnelles feront découvrir au public les prémices du design.
En s’associant avec des musées européens et américains, le Louvre s’inscrit comme une étape de l’exposition Biedermeier et surprend, en accueillant un événement mettant en avant un style décalé, sobre et original. Cette exposition présente principalement du mobilier d’intérieur et des objets comme des porcelaines, des meubles ou encore des échantillons de textiles, reflétant le mode de vie européen entre 1815 et 1848.
Le nom de Biedermeier a en effet été donné à ce courant, en référence à un personnage d’un hebdomadaire satyrique édité à Munich. Ce prénommé "Biedermaier" représentait le citoyen germanique typique, attaché à sa routine quotidienne, son confort, sa famille et peu soucieux de la politique. La généralisation de ce style de vie a ainsi donné naissance au mouvement esthétique de l’époque. Joseph Danhauser senior, fabricant de meuble viennois, marqua en premier ce nouvel art décoratif. Un style qui, avant même l’ère industrielle, bouscule les modes classiques et montre une évolution qui annonce le design contemporain.
Aline Angosto (07/11/2007)
http://www.maisonapart.com/edito/decoration-le-louvre-surprend-avec-l-exposition-biedermeier-850.php
Delphine Minoui
02/11/2007 | Mise à jour : 22:52 |
Les habitants de cette ville du Liban-Sud s’attachent à leur patrimoine, comme un défi lancé aux multiples guerres qui firent rage au pays du Cèdre.
De notre envoyée spéciale à Tyr (Liban)
Partout, des ruines. Mais celles-ci ne portent ni les stigmates de la guerre civile, ni ceux du conflit contre Israël de l’été 2006. Seulement la marque d’une riche civilisation dont l’érosion n’a pour principale origine que le temps qui passe. Des allées de colonnes romaines à perte de vue, des mosaïques aux couleurs passées, des pierres majestueuses qui déboulent jusqu’au bord d’une eau méditerranéenne bleu azur… De Tyr, cité antique portuaire de plus de 2 750 ans, se dégage une étrange impression de calme. Et de beauté ancestrale. «C’est un peu notre colonne vertébrale, celle qui tient toujours debout quand tout s’écroule», souffle Zahra Jaffar, visiteuse solitaire au milieu d’un des sites archéologiques disséminés à travers la nouvelle ville. L’instabilité politique qui prévaut au Liban a dissuadé les derniers touristes occidentaux de s’aventurer au sud du fleuve Litani. Mais pour cette habitante de Bazourieh, plus au sud, Tyr s’impose aujourd’hui comme un pèlerinage hebdomadaire. «Je m’y sens en paix», dit-elle.
Pour rejoindre cette cité culte de la Phénicie méridionale, à environ 80 km au sud de l’agitation qui secoue actuellement les différentes factions au pouvoir à Beyrouth, il faut passer les postes de contrôle de l’armée libanaise. Sur la route qui mène vers cette ancienne île, on croise également les Casques bleus de la Finul, la force internationale qui veille au maintien de l’ordre. Mais une fois arrivé, la mythologie reprend le dessus. L’histoire de Tyr est, en effet, liée à tous les grands événements des temps anciens.
Un «âge d’or» inoubliable
Au cours des siècles, la métropole abrita successivement les Phéniciens, les Perses, les Grecs, les Romains, les Byzantins, les Arabes, les Croisés, les Ottomans. Aujourd’hui, les principaux vestiges – l’hippodrome, l’arc de triomphe et la nécropole – datent de l’époque romaine. Mais dans les esprits, l’époque phénicienne reste celle d’un «âge d’or» inoubliable, où durant dix siècles (à partir de 1200 av. J.-C.), les riches marchands de ce port en pleine expansion se transformèrent en «colporteurs des mers».
«C’est ce riche héritage commun que nous cherchons à préserver, pour apprendre ce qui nous unit au-delà de ce qui nous sépare», explique Maha el-Khalil Chalabi, à la tête de l’Association internationale pour la sauvegarde de Tyr (AIST). Native de la ville, cette femme de caractère se bat depuis maintenant vingt-cinq ans pour sensibiliser l’opinion mondiale sur l’importance de la conservation du legs archéologique de ses terres d’origine. Avec, en filigrane, une ambition personnelle : utiliser ce patrimoine comme base commune à tous les Libanais, dans un pays déchiré par les conflits intercommunautaires. Les habitants de Tyr sont d’ailleurs fiers de rappeler que tout au long de la guerre civile (1975-1990), les communautés chiite, sunnite et chrétienne cohabitèrent paisiblement à l’extrême sud du pays, à quelques kilomètres de la frontière avec Israël. «L’anarchie qui régnait à l’époque laissa, en revanche, libre court à différents groupes qui organisèrent leurs propres fouilles et qui pillèrent des pans entiers du patrimoine national», regrette Maan Arab, l’ancien responsable du comité local de protection des sites.
En pleine ville, la carcasse d’une tour en ciment rappelle également la violence meurtrière des tirs de missiles israéliens, à l’été 2006. Mais à l’exception de fresques funéraires qui se seraient en partie décollées, à cause des vibrations causées par les bombes, les principaux vestiges archéologiques ont été épargnés. En revanche, tiennent à souligner les membres de l’AIST, ce sont d’autres fléaux qui menacent aujourd’hui la richesse du patrimoine local : l’extraction de sable sur le littoral, le remblaiement du port, ou encore le tracé de l’autoroute du Sud.
«Quand les bombes vous tombent sur la tête, protéger votre patrimoine constitue le dernier de vos soucis, reconnaît Maan Arab, qui s’est enfui dans les montagnes du Chouf, plus au nord, au pic de la crise de 2006. Mais quand on rentre, il n’y a rien de plus rassurant que de voir notre histoire tenir tête aux guerres. Face à l’incertitude politique actuelle, ces sites constituent le plus bel héritage qu’on peut offrir aux nouvelles générations.»
http://www.lefigaro.fr/culture/2007/11/02/03004-20071102ARTFIG00425-tyr-fait-de-la-resistance-culturelle-.php
La célèbre tour de Pise n’est plus la «tour la plus penchée du monde». Depuis jeudi, le livre Guinness des Records a donné ce titre au clocher d’une église dans le village allemand de Suurhusen.
Les auteurs du livre des records sont formels : avec son inclinaison à 5,19 degrés, le clocher de briques rouges haut de 27 mètres penche plus que la tour de Pise, inclinée à 3,97 degrés. Lors d’une cérémonie officielle jeudi dans l’église de Suurhusen, village de 1.200 habitants près de la frontière néerlandaise, l’équipe du Guinness a remis le titre au clocher, qui penche vers l’avant
Le clocher a été construit sur des fondations en chêne en 1450. Lorsque le terrain alentour s’est asséché au XIXe siècle, le bois a pourri et l’édifice a s’est affaissé. L’accès y a été interdit en 1975 par peur d’effondrement. Mais il est considéré comme sans danger depuis des travaux de consolidation en 1985. Reste à savoir si le clocher de Suurhusen, désormais détenteur du record de la «tour la plus penchée du monde» saura attirer autant de visiteurs que la tour de Pise.
08/11/2007
http://www.batiactu.com/data/08112007/08112007-152502.html
Mots imposés (Michel -http://www.fauxreveur.net/ )
Ce type d'exercice est manifestement celui que vous préférez, et il a été décidé de ne pas changer la formule cette fois
Sur base des 25 mots suivants, il vous est demandé d'en utiliser au moins 15 (idéalement tous) pour écrire un texte de votre choix.
page - annuler - travers - crépuscule - tirer - facile - ambiance - hypothèse - mésange -
finesse - parallèle - absurdité - sonate - langage - puriste - fatalité - dissoudre - pyramide -
caresse - victime - bâtisse - perpétuel - exécrable - hacher – cran
http://www.ecritureludique.net/article-13764285.html
MON POEME
Une page au crépuscule
Il est vraiment facile
Dans cette ambiance
D’échafauder mille hypothèses
Grotesques et ridicules
La mésange chante
Mais la finesse
De sa voix n’empêche
Pas de faire un parallèle
Entre sa sonate
Et le langage
Cher aux puristes
Où vient se dissoudre
La pyramide bancale
De mes mots-caresses
Dont je suis victime.
Alors je me retire
Dans ma bâtisse
Avec mon poème
Au rythme exécrable.
Annuler cette page,
Tirer une conclusion évidente
Vu l’absurdité de mes phrases.
La fatalité me pourchasse.
Hacher menu mes rimes
Qui ne passeront même
Pas à travers le filtre
De ma perpétuelle chimère
Un peu de cran ! cesse d’écrire